Investing.com - Les bourses européennes étaient encore plus retrait ce mercredi après-midi, malgré des statistiques régionales plutôt positives, l'ambiance toujours plombée par le spectre d'une offensive des Etats-Unis en Syrie.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,87%, le CAC 40 français de 0,90%, et le DAX 30 allemand de 0,62%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir dans la matinée que son indice définitif des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait été revu à la hausse depuis les 52,4 évalués au préalable jusqu'à 52,8 pour le mois dernier, tandis que celui du bloc euro suivait le chemin inverse de 51,0 à 50,7.
Les ventes au détail de ce dernier n'ont quand à elles connu qu'un sursaut de 0,1% en juillet, au lieu des 0,4% pressentis.
Il était aussi à signaler que son produit intérieur brut avait gonflé, conformément aux estimations préliminaires, de 0,3% entre le début avril et la fin juin.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La finance restait en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,46%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,37 et 1,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,74 et 0,57%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,68 et 2,46%.
A Paris, le trublion Iliad s'est joint au choeur des pleureuses des télécommunications après que son fondateur Xavier Niel en ait liquidé 3%, représentant 320 millions d'euros au cours de clôture d'hier.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,43%, bien qu'il ait été révélé que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois dernier leur expansion la plus marquée en six ans et demi.
Les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivaient en effet toujours le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings glissant de 0,01% et Barclays de 0,27%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,20 et 2,10%.
La compagnie aérienne à prix cassés Ryanair plongeait aussi de 13,07% suite à l'aveu de la possibilité de revenus annuels inférieurs aux objectifs, la canicule ayant entraîné une chute des réservations pour les destinations tropicales.
Mais les nouvelles n'étaient cependant pas toutes mauvaises, l'opérateur téléphonique Vodafone demeurant sous les feux de l'actualité, raflant 1,58% après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté en début de semaine d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,03% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une embellie de 0,02%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,87%, le CAC 40 français de 0,90%, et le DAX 30 allemand de 0,62%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir dans la matinée que son indice définitif des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait été revu à la hausse depuis les 52,4 évalués au préalable jusqu'à 52,8 pour le mois dernier, tandis que celui du bloc euro suivait le chemin inverse de 51,0 à 50,7.
Les ventes au détail de ce dernier n'ont quand à elles connu qu'un sursaut de 0,1% en juillet, au lieu des 0,4% pressentis.
Il était aussi à signaler que son produit intérieur brut avait gonflé, conformément aux estimations préliminaires, de 0,3% entre le début avril et la fin juin.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La finance restait en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,46%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,37 et 1,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,74 et 0,57%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,68 et 2,46%.
A Paris, le trublion Iliad s'est joint au choeur des pleureuses des télécommunications après que son fondateur Xavier Niel en ait liquidé 3%, représentant 320 millions d'euros au cours de clôture d'hier.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,43%, bien qu'il ait été révélé que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois dernier leur expansion la plus marquée en six ans et demi.
Les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivaient en effet toujours le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings glissant de 0,01% et Barclays de 0,27%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,20 et 2,10%.
La compagnie aérienne à prix cassés Ryanair plongeait aussi de 13,07% suite à l'aveu de la possibilité de revenus annuels inférieurs aux objectifs, la canicule ayant entraîné une chute des réservations pour les destinations tropicales.
Mais les nouvelles n'étaient cependant pas toutes mauvaises, l'opérateur téléphonique Vodafone demeurant sous les feux de l'actualité, raflant 1,58% après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté en début de semaine d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,03% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une embellie de 0,02%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.