Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce lundi après-midi, malgré l'humeur positive des acteurs des marchés à l'égard de la région, sur fond de spectre persistant d'une attaque des Etats-Unis contre la Syrie.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,32%, le CAC 40 français de 0,58%, et le DAX 30 allemand de 0,10%.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le chef de l'état syrien Bachar el-Assad n'a pas réussi à dissiper les angoisses, bien qu'il ait assuré en fin de semaine n'avoir en aucune façon autorisé l'emploi d'armes chimiques contre la population.
Cette intervention survenait alors que le parlement américain devrait se prononcer sous peu au sujet de la proposition de tir de missiles émise par le président Barack Obama.
La finance était encore partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,37%, suivie du français Société Générale avec 0,682, dont le compatriote BNP Paribas laissait échapper 0,49%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,76 et 0,92%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 0,91 et 2,05%.
L'opérateur téléphonique néerlandais Royal KPN trébuchait de 0,14%, suite à la proposition de prise de contrôle d'America Movil, et à l'annonce de la démission de son directeur financier Eric Hageman pour raisons personnelles.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,52%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne n'étant guère moins mitigés que leurs homologues continentaux.
La City gardait cependant majoritairement la corde, Barclays arrachant 0,40%, la Royal Bank of Scotland 0,64% et Lloyds Banking 1,20%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre moins souffert, les mastodontes miniers Fresnillo et Glencore Xstrata amassant 2,25 et &,15%, Eurasian Natural Resources se contentant de 0,09%, contrant ainsi ses pertes matinales.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,44%.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse, les exportations nationales enflant ainsi de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% annualisés dans le même temps, un léger répit par rapport aux 2,7% précédents.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,32%, le CAC 40 français de 0,58%, et le DAX 30 allemand de 0,10%.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le chef de l'état syrien Bachar el-Assad n'a pas réussi à dissiper les angoisses, bien qu'il ait assuré en fin de semaine n'avoir en aucune façon autorisé l'emploi d'armes chimiques contre la population.
Cette intervention survenait alors que le parlement américain devrait se prononcer sous peu au sujet de la proposition de tir de missiles émise par le président Barack Obama.
La finance était encore partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,37%, suivie du français Société Générale avec 0,682, dont le compatriote BNP Paribas laissait échapper 0,49%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,76 et 0,92%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 0,91 et 2,05%.
L'opérateur téléphonique néerlandais Royal KPN trébuchait de 0,14%, suite à la proposition de prise de contrôle d'America Movil, et à l'annonce de la démission de son directeur financier Eric Hageman pour raisons personnelles.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,52%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne n'étant guère moins mitigés que leurs homologues continentaux.
La City gardait cependant majoritairement la corde, Barclays arrachant 0,40%, la Royal Bank of Scotland 0,64% et Lloyds Banking 1,20%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre moins souffert, les mastodontes miniers Fresnillo et Glencore Xstrata amassant 2,25 et &,15%, Eurasian Natural Resources se contentant de 0,09%, contrant ainsi ses pertes matinales.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,44%.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse, les exportations nationales enflant ainsi de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% annualisés dans le même temps, un léger répit par rapport aux 2,7% précédents.