Investing.com - Les bourses européennes restaient en berne ce mercredi après-midi, l'ambiance se trouvant assombrie par l'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette régionale et par des perspectives de croissance planétaire peu reluisantes.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.29%, et le DAX 30 allemand de 0.33%.
L'atmosphère s'est en effet alourdie après que Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, ait affirmé que la valeur de l'euro était "dangereusement élevée" et pourrait représenter une menace pour la reprise régionale.
La Banque Mondiale a d'autre part revu hier en nette baisse ses prévisions de croissance planétaire, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, justifiés par une relance plus lente que prévu de la part des pays développés.
La finance était sur le banc des accusés, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.51 et 4.06%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient les dégâts à 1.47 et 1.44%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander reculant de 0.39 et 0.78%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas mieux lotis avec 3.06 et 3.07%.
Barry Callebaut a laissé échapper 1.19% suite à l'aveu d'un chiffre d'affaires décevant de 1.25 milliards de CHF.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a cédé 0.63%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings suivait la tendance de 0.13%, et Barclays de 2.17%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds banking faisant encore pire avec 2.75 et 3.77%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a aussi fondu de 2.78%, les ouvriers de son site sud-africain de Rustenburg refusant d'y retourner afin de protester contre son plan de fermeture, et son rival BP trébuchait de 0.56% du même mouvement.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec des faux pas de 1.27 et 0.74%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec ";&ç et 2.68% de pertes.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, restait sur la sellette pour la deuxième journée d'affilée, s'effondrant de 1.31% après que Sanford C. Bernstein & Co. en ait revu son appréciation depuis la neutralité vers la déception, estimant que son cours actuel ne reflétait pas les estimations réalistes de sa capacité à pénétrer de nouveaux marchés et à augmenter les coûts de ses licences.
Morgan Stanley L'avait déjà rabaissé hier vers une notation indifférente.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
Il a d'autre part été signalé que l'augmentation annuelle des prix au détail du bloc euro était demeurée sans surprise stable à 2.2% en décembre.
Celle des prix de base, excluant les coûts de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, s'est quand à elle hissée de 1.4 à 1.5% dans le même temps, comme anticipé.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.54%, le CAC 40 français de 0.29%, et le DAX 30 allemand de 0.33%.
L'atmosphère s'est en effet alourdie après que Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, ait affirmé que la valeur de l'euro était "dangereusement élevée" et pourrait représenter une menace pour la reprise régionale.
La Banque Mondiale a d'autre part revu hier en nette baisse ses prévisions de croissance planétaire, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, justifiés par une relance plus lente que prévu de la part des pays développés.
La finance était sur le banc des accusés, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.51 et 4.06%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient les dégâts à 1.47 et 1.44%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander reculant de 0.39 et 0.78%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas mieux lotis avec 3.06 et 3.07%.
Barry Callebaut a laissé échapper 1.19% suite à l'aveu d'un chiffre d'affaires décevant de 1.25 milliards de CHF.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a cédé 0.63%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings suivait la tendance de 0.13%, et Barclays de 2.17%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds banking faisant encore pire avec 2.75 et 3.77%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, a aussi fondu de 2.78%, les ouvriers de son site sud-africain de Rustenburg refusant d'y retourner afin de protester contre son plan de fermeture, et son rival BP trébuchait de 0.56% du même mouvement.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec des faux pas de 1.27 et 0.74%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec ";&ç et 2.68% de pertes.
ARM Holdings, dont les microprocesseurs font tourner les iPhones d'Apple, restait sur la sellette pour la deuxième journée d'affilée, s'effondrant de 1.31% après que Sanford C. Bernstein & Co. en ait revu son appréciation depuis la neutralité vers la déception, estimant que son cours actuel ne reflétait pas les estimations réalistes de sa capacité à pénétrer de nouveaux marchés et à augmenter les coûts de ses licences.
Morgan Stanley L'avait déjà rabaissé hier vers une notation indifférente.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
Il a d'autre part été signalé que l'augmentation annuelle des prix au détail du bloc euro était demeurée sans surprise stable à 2.2% en décembre.
Celle des prix de base, excluant les coûts de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, s'est quand à elle hissée de 1.4 à 1.5% dans le même temps, comme anticipé.