Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce mercredi après-midi, en dépit de bons résultats allemands, alors que l'ambiance demeurait plombée par les incertitudes au sujet de la politique monétaire américaine.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,45%, et le DAX 30 allemand de 0,38%.
L'indice Gfk de l'optimisme de consommateurs allemands pour octobre s'est en effet élevé à 7,1, et celui de ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
La nervosité était entretenue par les incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis, après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, en ait justifié le maintien.
Les valeurs de l'Europe ont retrouvé des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé hier qu'il était encore trop tôt pour que celle-ci mette fin à ses mesures de crise.
La finance était plus partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,69%, suivie du français Société Générale avec 0,17%, dont le compatriote BNP Paribas empochait cependant 0,61%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,22 et 0,31%, tandis que l'italien Intesa Sanpaolo se rétractait de 0,41%.
Nordea Bank s'effondrait même de 2,78% alors que la Suède mettait en vente ses 7% de parts restantes dans le plus gros établissement bancaire scandinave.
Tout n'était cependant pas désespéré, Enagas et Gas Natural bondissant de 1,19 et 3,57% après que Goldman Sachs en ait remonté les appréciations depuis la neutralité vers le conseil d'achat, estimant que les réformes imminentes de la législation gazière espagnole leur seraient profitables.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, chutait de 0,46%, avec l'organisateur de croisières Carnival en lanterne rouge, coulant de 6,73% après avoir déploré 30% de bénéfices de mois au troisième trimestre, ainsi qu'un volume de réservations pour les neuf mois à venir inférieur à ceux des années passées.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières gardaient cependant la forme, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant de 0,51 et 0,45%, leur rival Fresnillo n'étant pas en reste avec 1,85%.
La City gardait quand à elle majoritairement le sourire, Lloyds Banking avançant de 0,97%, Barclays de 1,68% et la Royal Bank of Scotland de 1,20%, tandis que HSBC Holdings limitait les dégâts avec un faux pas de 0,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,45%, et le DAX 30 allemand de 0,38%.
L'indice Gfk de l'optimisme de consommateurs allemands pour octobre s'est en effet élevé à 7,1, et celui de ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
La nervosité était entretenue par les incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis, après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, en ait justifié le maintien.
Les valeurs de l'Europe ont retrouvé des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé hier qu'il était encore trop tôt pour que celle-ci mette fin à ses mesures de crise.
La finance était plus partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,69%, suivie du français Société Générale avec 0,17%, dont le compatriote BNP Paribas empochait cependant 0,61%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,22 et 0,31%, tandis que l'italien Intesa Sanpaolo se rétractait de 0,41%.
Nordea Bank s'effondrait même de 2,78% alors que la Suède mettait en vente ses 7% de parts restantes dans le plus gros établissement bancaire scandinave.
Tout n'était cependant pas désespéré, Enagas et Gas Natural bondissant de 1,19 et 3,57% après que Goldman Sachs en ait remonté les appréciations depuis la neutralité vers le conseil d'achat, estimant que les réformes imminentes de la législation gazière espagnole leur seraient profitables.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, chutait de 0,46%, avec l'organisateur de croisières Carnival en lanterne rouge, coulant de 6,73% après avoir déploré 30% de bénéfices de mois au troisième trimestre, ainsi qu'un volume de réservations pour les neuf mois à venir inférieur à ceux des années passées.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières gardaient cependant la forme, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant de 0,51 et 0,45%, leur rival Fresnillo n'étant pas en reste avec 1,85%.
La City gardait quand à elle majoritairement le sourire, Lloyds Banking avançant de 0,97%, Barclays de 1,68% et la Royal Bank of Scotland de 1,20%, tandis que HSBC Holdings limitait les dégâts avec un faux pas de 0,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.