Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, les investisseurs poursuivant sur leur lancée optimiste de lundi suite aux commentaires favorables à des taux bas provenant de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, malgré un baromètre de l'humeur des consommateurs allemands décevant.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.89%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.92%.
Le gouverneur de la banque centrale a en effet déclaré hier lors d'un discours que de nouveaux assouplissements monétaires seraient nécessaires afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Ces remarques ont éclipsé l'étude montrant une augmentation de la confiance dans les affaires allemandes pour mars, l'institut Gfk pour la recherche économique ayant annoncé ce matin que son indice de cette dernière était descendu de 6 à 5.9, au lieu des 6.2 espérés.
La finance en avait retrouvé le sourire, avec l'ING Groep néerlandais au premier rang, les banques françaises BNP Paribas et Société Générale lui emboîtant le pas avec respectivement 1.86 et 1.51%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank devaient se contenter de 1.09 et 1.28%.
La ccompagnie aérienne Lufthansa et Linde, second fournisseur mondial de gaz industriels, ont pour leur part engrangé 3.84 et 0.22% après que JP Morgan en ait remonté les appréciations de n"eutre" vers "poids lourd".
Parmi les moins bonnes nouvelles, Air France-KLM Group a plongé de 2.61% après qu'un audit ait révélé, d'après le quotidien français La Tribune, que sa partie Air France nécessiterait un refinancement d'ici la fin 2013.
A Londres, le FTSE 100 a gagné 0.45%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'est située en pointe du peloton avec un bond de 6.05% à la suite d'un article selon lequel le gouvernement aurait tenu des pourparlers destinés à vendre jusqu'à un tiers de ses parts à une banque d'Abu Dhabi.
Barclays n'était pas en reste avec 2.73%, Lloyds Banking et HDBC Holdings fermant la marche avec 2.53 et 1.39%.
Les cuivriers ont également été à la fête, Xstrata encaissant 1.48% après que le plus gros exportateur de charbon destiné aux centrales électriques ait obtenu l'autorisation d'installer une mine à Wandoan, en Australie, estimée à 6.3 milliards d'USD, Kazakhmys raflant pour sa part 4.06%.
Les mastodontes miniers que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part grimpé de 2 et 1.01%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
Les Etats-Unis verront quand à eux Standard & Poor's et Case Shiller divulguer cet après-midi leur indice composite conjoint de l'inflation des coûts des logements, alors que des spécialistes dévoileront leur indice de la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.89%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.92%.
Le gouverneur de la banque centrale a en effet déclaré hier lors d'un discours que de nouveaux assouplissements monétaires seraient nécessaires afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Ces remarques ont éclipsé l'étude montrant une augmentation de la confiance dans les affaires allemandes pour mars, l'institut Gfk pour la recherche économique ayant annoncé ce matin que son indice de cette dernière était descendu de 6 à 5.9, au lieu des 6.2 espérés.
La finance en avait retrouvé le sourire, avec l'ING Groep néerlandais au premier rang, les banques françaises BNP Paribas et Société Générale lui emboîtant le pas avec respectivement 1.86 et 1.51%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank devaient se contenter de 1.09 et 1.28%.
La ccompagnie aérienne Lufthansa et Linde, second fournisseur mondial de gaz industriels, ont pour leur part engrangé 3.84 et 0.22% après que JP Morgan en ait remonté les appréciations de n"eutre" vers "poids lourd".
Parmi les moins bonnes nouvelles, Air France-KLM Group a plongé de 2.61% après qu'un audit ait révélé, d'après le quotidien français La Tribune, que sa partie Air France nécessiterait un refinancement d'ici la fin 2013.
A Londres, le FTSE 100 a gagné 0.45%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'est située en pointe du peloton avec un bond de 6.05% à la suite d'un article selon lequel le gouvernement aurait tenu des pourparlers destinés à vendre jusqu'à un tiers de ses parts à une banque d'Abu Dhabi.
Barclays n'était pas en reste avec 2.73%, Lloyds Banking et HDBC Holdings fermant la marche avec 2.53 et 1.39%.
Les cuivriers ont également été à la fête, Xstrata encaissant 1.48% après que le plus gros exportateur de charbon destiné aux centrales électriques ait obtenu l'autorisation d'installer une mine à Wandoan, en Australie, estimée à 6.3 milliards d'USD, Kazakhmys raflant pour sa part 4.06%.
Les mastodontes miniers que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part grimpé de 2 et 1.01%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
Les Etats-Unis verront quand à eux Standard & Poor's et Case Shiller divulguer cet après-midi leur indice composite conjoint de l'inflation des coûts des logements, alors que des spécialistes dévoileront leur indice de la confiance des consommateurs.