Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé encore plus d'entrain ce lundi après-midi, profitant des bonnes nouvelles provenant de la région et de la Chine, ainsi que du sursis offert à la Syrie.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,61%, le CAC 40 français de 1,69%, et le DAX 30 allemand de 1,71%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Le président américain Barack Obama a d'autre part lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
La finance restait en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,98%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,13 et 3,94%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,25 et 2,49%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,36 et 2,62%.
Le secteur énergétique était aussi sur les rangs, ENI bondissant de 1,10%, Iberdrola de 0,70% et Total de 0,62%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 1,76%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassaient 3,27% et 4,15%, leurs rivaux Vedanta Resources et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 2,75 et 4,06%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, raflant 2,98% après qu'il ait été annoncé que son collègue américain Verizon Communications annoncerait dans l'après-midi un accord concernant l'acquisition des 45% de parts du premier dans leur coentreprise Verizon Wireless, ce qui constituerait une transaction à hauteur de 130 milliards d'USD.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, la Royal Bank of Scotland arrachant 1,37, Barclays 1,94% et HSBC Holdings 2,45%, tandis que Lloyds Banking décevait cependant avec un faux pas de 1,23%.
Les places américaines devaient de leur côté demeurer inactives pour cause de fête du travail.
L'institut Markit avait aussi révélé que son indicateur de l'activité du secteur secondaire espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,61%, le CAC 40 français de 1,69%, et le DAX 30 allemand de 1,71%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Le président américain Barack Obama a d'autre part lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
La finance restait en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,98%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,13 et 3,94%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,25 et 2,49%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,36 et 2,62%.
Le secteur énergétique était aussi sur les rangs, ENI bondissant de 1,10%, Iberdrola de 0,70% et Total de 0,62%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 1,76%, tiré vers le haut par l'offensive des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassaient 3,27% et 4,15%, leurs rivaux Vedanta Resources et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 2,75 et 4,06%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, raflant 2,98% après qu'il ait été annoncé que son collègue américain Verizon Communications annoncerait dans l'après-midi un accord concernant l'acquisition des 45% de parts du premier dans leur coentreprise Verizon Wireless, ce qui constituerait une transaction à hauteur de 130 milliards d'USD.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, la Royal Bank of Scotland arrachant 1,37, Barclays 1,94% et HSBC Holdings 2,45%, tandis que Lloyds Banking décevait cependant avec un faux pas de 1,23%.
Les places américaines devaient de leur côté demeurer inactives pour cause de fête du travail.
L'institut Markit avait aussi révélé que son indicateur de l'activité du secteur secondaire espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.