Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mardi matin, alors que le goût pour les valeurs audacieuses se trouvait exacerbé par la crainte que les Etats-Unis interviennent militairement contre le gouvernement de la Syrie, sur fond d'incertitudes concernant le futur des coups de pouce de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,42%, le CAC 40 français de 0,46%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
La nervosité était palpable après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de de la demande nationale.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0,52 et 0,99%, suivis du français Société Générale avec 0,55%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,71 et 0,92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,07 et 0,36%.
Aker Solutions plongeait quand à lui de 2,34% suite à des revenus inférieurs aux espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings chutait ainsi de 0,27% et Barclays de 0,51%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en lanternes rouges avec 1,10 et 2,03%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, Antofagasta fondant de 3,77%, Eurasian Natural Resources de 4,61% et Polymetal de 2,32%.
Petrofac se situait par contre en pointe, bondissant de 5,69% à l'ouverture sur fond d'angoisse d'une perturbation des flux provenant du Moyen-Orient.
Les perspectives des marchés américains étaient plus modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part publier aujourd'hui une étude sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les acteurs de l'immobilier américain feront de même concernant l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,42%, le CAC 40 français de 0,46%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
La nervosité était palpable après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de de la demande nationale.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0,52 et 0,99%, suivis du français Société Générale avec 0,55%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,71 et 0,92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,07 et 0,36%.
Aker Solutions plongeait quand à lui de 2,34% suite à des revenus inférieurs aux espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings chutait ainsi de 0,27% et Barclays de 0,51%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en lanternes rouges avec 1,10 et 2,03%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, Antofagasta fondant de 3,77%, Eurasian Natural Resources de 4,61% et Polymetal de 2,32%.
Petrofac se situait par contre en pointe, bondissant de 5,69% à l'ouverture sur fond d'angoisse d'une perturbation des flux provenant du Moyen-Orient.
Les perspectives des marchés américains étaient plus modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part publier aujourd'hui une étude sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les acteurs de l'immobilier américain feront de même concernant l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.