Investing.com - Les bourses européennes étaient en léger recul ce mercredi, les médiocres résultats de l'Allemagne ayant ravivé le spectre d'une contagion de la zone euro par les problèmes de dette, tandis que les observateurs guettaient les orientations de la Réserve Fédérale dont la révélation devait avoir lieu en fin de journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.11%, le CAC 40 français de 0.26%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les prix au détail allemands avaient davantage diminué en mai qu'il n'avait été envisagé, laissant échapper 0.3% après avoir gagné 0.2% auparavant, alors que les experts redoutaient déjà de les voir laisser échapper 0.1%.
Les acteurs des marchés attendaient en effet les décisions que la banque centrale américaine annoncera cet après-midi, alors que grandissait l'attente d'assouplissements quantitatifs supplémentaires après une série de résultats économiques peu glorieux.
La situation politique de la Grèce demeurait sur le devant de la scène, alors que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition, qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le groupe alimentaire français Danone a subi sa seconde séance négative d'affilée, plongeant de 1.5% après avoir prévenu hier que ses bénéfices étaient en danger, invoquant une baisse de la consommation dans le sud de l'Europe, et particulièrement en Espagne, et l'aggravation des conséquences du problème du surendettement régional sur les grandes entreprises.
Nokia a sombré de 1.51%, toujours malmené par sa rétrogradation la semaine passée par l'agence de notation Moody's au rang d'actif indésirable, suite à l'annonce de coupes budgétaires draconiennes et de plans sociaux à l'échelle mondiale.
La finance tirait par contre son épingle du jeu, l'italien Unicredit en tête avec 1.78%, suivi par les français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement &.56 et 1.32%.
Leurs deux plus gros collègues allemands n'étaient pas en reste, avec 0.63 et 1%.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.08%, tiré vers le bas par des services collectifs en difficulté.
United Utilities a ainsi dégringolé de 3.96%, imité par Severn Trent avec 6.92%, qui avait déclaré qu'une grande partie de la route de Kingsholm de Gloucester serait fermée à la circulation pour la seconde fois de l'année afin de diminuer les risques liés à d'éventuelles inondation, poussant les commerçants riverains à affirmer qu'une telle décision mettait leur viabilité en danger.
Tout n'était cependant pas désespéré, la City menant la charge avec Lloyds Banking bondissant de 1.33%, et la Royal Bank of Scotland de 1.11%, tandis que Barclays et HSBC Holdingsg se contentaient de 0.79 et 0.45%.
Le mastodonte minier Rio Tinto restait en forme avec 0.22%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant de 0.12 et 1.01%.
Ryanair a pour sa part grignoté 0.45% après avoir assuré qu'une nouvelle tentative d'achat de la compagnie aérienne irlandaise rivale Aer Lingus était à l'ordre du jour, faisant s'envoler cette dernière de 25.24%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
La Réserve Fédérale conclura la journée avec l'annonce de son taux d'intérêt, suivie de son communiqué sur la question, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse afin de discuter du cap qui aura été pris.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.11%, le CAC 40 français de 0.26%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les prix au détail allemands avaient davantage diminué en mai qu'il n'avait été envisagé, laissant échapper 0.3% après avoir gagné 0.2% auparavant, alors que les experts redoutaient déjà de les voir laisser échapper 0.1%.
Les acteurs des marchés attendaient en effet les décisions que la banque centrale américaine annoncera cet après-midi, alors que grandissait l'attente d'assouplissements quantitatifs supplémentaires après une série de résultats économiques peu glorieux.
La situation politique de la Grèce demeurait sur le devant de la scène, alors que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition, qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le groupe alimentaire français Danone a subi sa seconde séance négative d'affilée, plongeant de 1.5% après avoir prévenu hier que ses bénéfices étaient en danger, invoquant une baisse de la consommation dans le sud de l'Europe, et particulièrement en Espagne, et l'aggravation des conséquences du problème du surendettement régional sur les grandes entreprises.
Nokia a sombré de 1.51%, toujours malmené par sa rétrogradation la semaine passée par l'agence de notation Moody's au rang d'actif indésirable, suite à l'annonce de coupes budgétaires draconiennes et de plans sociaux à l'échelle mondiale.
La finance tirait par contre son épingle du jeu, l'italien Unicredit en tête avec 1.78%, suivi par les français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement &.56 et 1.32%.
Leurs deux plus gros collègues allemands n'étaient pas en reste, avec 0.63 et 1%.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.08%, tiré vers le bas par des services collectifs en difficulté.
United Utilities a ainsi dégringolé de 3.96%, imité par Severn Trent avec 6.92%, qui avait déclaré qu'une grande partie de la route de Kingsholm de Gloucester serait fermée à la circulation pour la seconde fois de l'année afin de diminuer les risques liés à d'éventuelles inondation, poussant les commerçants riverains à affirmer qu'une telle décision mettait leur viabilité en danger.
Tout n'était cependant pas désespéré, la City menant la charge avec Lloyds Banking bondissant de 1.33%, et la Royal Bank of Scotland de 1.11%, tandis que Barclays et HSBC Holdingsg se contentaient de 0.79 et 0.45%.
Le mastodonte minier Rio Tinto restait en forme avec 0.22%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant de 0.12 et 1.01%.
Ryanair a pour sa part grignoté 0.45% après avoir assuré qu'une nouvelle tentative d'achat de la compagnie aérienne irlandaise rivale Aer Lingus était à l'ordre du jour, faisant s'envoler cette dernière de 25.24%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
La Réserve Fédérale conclura la journée avec l'annonce de son taux d'intérêt, suivie de son communiqué sur la question, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse afin de discuter du cap qui aura été pris.