Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli ce vendredi matin, dans le sillage de la déception causée par le commerce extérieur germanique, dans l'expectative des chiffres cruciaux que les Etats-Unis divulgueront sous peu, en quête d'indices sur les prochaines décisions de leur banque centrale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,14%, et le DAX 30 allemand de 0,25%.
Une étude officielle a quand en effet signalé à l'aube que l'Allemagne avait enregistré une diminution inattendue de l'excédent de sa balance commerciale, depuis les 15,8 milliards d'euros après révision à la hausse jusqu'à 14,5 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 16,1 milliards pour la période considérée.
Les observateurs guettent aussi aujourd'hui le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
L'ombre d'une possible offensive des Etats-Unis contre le gouvernement syrien persistait, alors que leur parlement devrait se prononcer la semaine prochaine sur la proposition de tir de missiles du président Barack Obama.
Les chefs d'état du monde entier ont égalemennt mis la pression sur lui lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en Russie afin de le persuader de ne pas engager une telle manoeuvre, afin d'éviter une flambée des cours qui pourrait mettre un frein à la relance mondiale.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,60%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,14 et 0,18%.
La périphérie était plus unie dans la défaite, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,02 et 0,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,99 et 0,74%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Ericsson engrangeant 1,67% après que le Crédit Suisse en ait remonté l'appréciation depuis la neutralité vers des performances supérieures aux estimations, le fabricant d'infrastructures de téléphonie mobile s'apprêtant à bénéficier de l'engouement pour son secteur.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,08%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondait ainsi de 1,54%, Evraz de 1,34%, Fresnillo de 1,41%, et Randgold Resources de 1,18%.
La City partageait quand à elle les hésitations du continent, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 0,15%, et Barclays de 0,13%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking émergeaient de 0,40 et 3,07%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur décompte des postes non agricoles et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horaire moyen.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,14%, et le DAX 30 allemand de 0,25%.
Une étude officielle a quand en effet signalé à l'aube que l'Allemagne avait enregistré une diminution inattendue de l'excédent de sa balance commerciale, depuis les 15,8 milliards d'euros après révision à la hausse jusqu'à 14,5 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 16,1 milliards pour la période considérée.
Les observateurs guettent aussi aujourd'hui le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
L'ombre d'une possible offensive des Etats-Unis contre le gouvernement syrien persistait, alors que leur parlement devrait se prononcer la semaine prochaine sur la proposition de tir de missiles du président Barack Obama.
Les chefs d'état du monde entier ont égalemennt mis la pression sur lui lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en Russie afin de le persuader de ne pas engager une telle manoeuvre, afin d'éviter une flambée des cours qui pourrait mettre un frein à la relance mondiale.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,60%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,14 et 0,18%.
La périphérie était plus unie dans la défaite, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,02 et 0,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,99 et 0,74%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Ericsson engrangeant 1,67% après que le Crédit Suisse en ait remonté l'appréciation depuis la neutralité vers des performances supérieures aux estimations, le fabricant d'infrastructures de téléphonie mobile s'apprêtant à bénéficier de l'engouement pour son secteur.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,08%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondait ainsi de 1,54%, Evraz de 1,34%, Fresnillo de 1,41%, et Randgold Resources de 1,18%.
La City partageait quand à elle les hésitations du continent, la Royal Bank of Scotland se rétractant de 0,15%, et Barclays de 0,13%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking émergeaient de 0,40 et 3,07%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur décompte des postes non agricoles et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horaire moyen.