Investing.com - Les bourses européennes étaient en retrait ce mercredi matin, dans l'expectative de statistiques régionales, tandis que l'ambiance se trouvait plombée par le spectre d'une offensive des Etats-Unis en Syrie.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,58%, le CAC 40 français de 0,51%, et le DAX 30 allemand de 0,29%.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a en effet refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, ait approuvé l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Les cours avaient perdu des plumes après qu'il ait été souligné hier que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011, confortant l'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui révélé que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol avait bondi depuis 48,5 jusqu'à 50,4 pour le mois dernier, dépassant ainsi les 50,0 espérés et atteignant ainsi son meilleur niveau depuis juin 2011.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,14%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,36 et 0,09%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,18 et 0,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,72 et 1,32%.
Les télécommunications n'étaient guère mieux loties, Deutche Telekom se repliant de 0,51%, Orange de 0,06% et l'espagnol Telefonica de 0,62%.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,45%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays glissait ainsi de 0,18%, la Royal Bank of Scotland de 1,25%, et Lloyds Banking de 1,50%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,53%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, raflant 1,67% après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté en début de semaine d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
La compagnie aérienne à prix cassés Ryanair plongeait par contre de 13,66% suite à l'aveu de la possibilité de revenus annuels inférieurs aux objectifs, la canicule ayant entraîné une chute des réservations pour les destinations tropicales.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,04%.
Les autorités de l'Europe comptaient pour leur part publier incessamment les chiffres de ses ventes au détail, après quoi les autorités américaines divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,58%, le CAC 40 français de 0,51%, et le DAX 30 allemand de 0,29%.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a en effet refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, ait approuvé l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Les cours avaient perdu des plumes après qu'il ait été souligné hier que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011, confortant l'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui révélé que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol avait bondi depuis 48,5 jusqu'à 50,4 pour le mois dernier, dépassant ainsi les 50,0 espérés et atteignant ainsi son meilleur niveau depuis juin 2011.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,14%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,36 et 0,09%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,18 et 0,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,72 et 1,32%.
Les télécommunications n'étaient guère mieux loties, Deutche Telekom se repliant de 0,51%, Orange de 0,06% et l'espagnol Telefonica de 0,62%.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,45%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays glissait ainsi de 0,18%, la Royal Bank of Scotland de 1,25%, et Lloyds Banking de 1,50%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,53%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, raflant 1,67% après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté en début de semaine d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
La compagnie aérienne à prix cassés Ryanair plongeait par contre de 13,66% suite à l'aveu de la possibilité de revenus annuels inférieurs aux objectifs, la canicule ayant entraîné une chute des réservations pour les destinations tropicales.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,04%.
Les autorités de l'Europe comptaient pour leur part publier incessamment les chiffres de ses ventes au détail, après quoi les autorités américaines divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur.