Investing.com - Les bourses européennes pataugeaient dans la morosité ce mardi après-midi, la déception sur le front de l'emploi espagnol et la retenue à l'avant-veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne ne poussant guère à l'exubérance.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,01%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0,08%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Les autorités de Madrid ont en effet déploré une absence de diminution du nombre des demandeurs d'emploi pour le mois passé, alors que 5.200 de moins étaient attendus après les 64.000 déjà constatés en juillet.
Les cours étaient remontés après qu'il ait été montré hier que l'activité du secteur secondaire de la Chine avait connu en août son premier frémissement de l'année, tandis que celles de l'Espagne et de l'Italie avaient retrouvé un chemin ascendant pour la première fois depuis 2011.
Mais nervosité était palpable en raison des rueurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis pourrait effectuer un tour de vis le 18 septembre, à l'issue de son conseil d'orientation.
La finance avait perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,11%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,87 et 1,20%.
Il en allait de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,31 et 0,30%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,39%.
Nokia s'envolait pour sa part de 38,06% après que Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, ait accepté d'en racheter la branche de téléphonie mobile pour 5,44 milliards d'euros.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle, les magasinns hors taxes suisses Dufry bondissant de 3,17% après avoir annoncé la signature de contrats avec les aéroports brésiliens, et 250 à 275 millions d'USD d'investissements dans le pays.
A Londres, le FTSE 100, dérpait de 0,10%, qu'il ait été révélé que le domaine du bâtiment britannique avait connu le mois dernier son expansion la plus marquée en six ans.
La City était divisée, Lloyds Banking plongeant de 0,41%, et la Royal Bank of Scotland de 0,27%, tandis que Barclays et HSBC Holdings tiraient leurs épingles du jeu avec 0,30 et 0,62% de gains.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cherchaient toujours une direction claire, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,27 et 4,90%, tandis qu'Evraz et Fresnillo fondaient de 3,55 et 0,24%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, dégringolant de 3,82% suite à l'aveu projections de bénéfices d'exploitation ajustés se situant vers les 5 milliards de GBP pur 2014, après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,66%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,74%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec des informations portant sur le domaine industriel américain.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,01%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0,08%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Les autorités de Madrid ont en effet déploré une absence de diminution du nombre des demandeurs d'emploi pour le mois passé, alors que 5.200 de moins étaient attendus après les 64.000 déjà constatés en juillet.
Les cours étaient remontés après qu'il ait été montré hier que l'activité du secteur secondaire de la Chine avait connu en août son premier frémissement de l'année, tandis que celles de l'Espagne et de l'Italie avaient retrouvé un chemin ascendant pour la première fois depuis 2011.
Mais nervosité était palpable en raison des rueurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis pourrait effectuer un tour de vis le 18 septembre, à l'issue de son conseil d'orientation.
La finance avait perdu le sourire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,11%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,87 et 1,20%.
Il en allait de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,31 et 0,30%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,39%.
Nokia s'envolait pour sa part de 38,06% après que Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, ait accepté d'en racheter la branche de téléphonie mobile pour 5,44 milliards d'euros.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle, les magasinns hors taxes suisses Dufry bondissant de 3,17% après avoir annoncé la signature de contrats avec les aéroports brésiliens, et 250 à 275 millions d'USD d'investissements dans le pays.
A Londres, le FTSE 100, dérpait de 0,10%, qu'il ait été révélé que le domaine du bâtiment britannique avait connu le mois dernier son expansion la plus marquée en six ans.
La City était divisée, Lloyds Banking plongeant de 0,41%, et la Royal Bank of Scotland de 0,27%, tandis que Barclays et HSBC Holdings tiraient leurs épingles du jeu avec 0,30 et 0,62% de gains.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cherchaient toujours une direction claire, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,27 et 4,90%, tandis qu'Evraz et Fresnillo fondaient de 3,55 et 0,24%.
L'opérateur téléphonique Vodafone demeurait sous les feux de l'actualité, dégringolant de 3,82% suite à l'aveu projections de bénéfices d'exploitation ajustés se situant vers les 5 milliards de GBP pur 2014, après que son collègue américain Verizon Communications ait accepté d'acquérir les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,66%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,74%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec des informations portant sur le domaine industriel américain.