Investing.com - Les bourses européennes étaient en retrait ce vendredi matin, dans l'expectative de la rencontre imminente des ministres des finances de l'Union Européenne, dans l'ombre du conflit syrien.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,21%, le CAC 40 français de 0,04%, et le DAX 30 allemand de 0,16%.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que l'engagement de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisant".
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,15 et 0,95%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,43 et 0,31%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,93 et 1,16%.
Ce n'étaient pas les seules contre-performances, le fournisseur de vêtements Gerry Weber International dégringolant de 10,04% à Francfort suite à des revenus se limitant à 11,5 millions d'euros pour le troisième trimestre, au lieu des 12,8 attendus, et à la révision de ses revenus annuels vers plus de modestie.
Fresenius SE bondissait par contre de 4,46% après que sa branche santé Helios ait accepté de débourser 3,07 milliards d'euros pour 43 établissements du pays appartenant à Rhoen-Klinikum, créant ainsi la plus grande chaîne de cliniques privées d'Europe.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,17%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Glencore Xstrata fondait de 1,32%, et Anglo American de 1,62%, tandis que Randgold Resources et Polymetal se retrouvaient en queue de peloton avec 2,25% et 3,32%.
La City était plus divisée, Lloyds Banking s'effondrant de 1,21% et Barclays de 0,34%, tandis que HSBC Holdings arrachait 0,28% et la Royal Bank of Scotland 1,33%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de0,01 %, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer un frémisseent de 0,07%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,21%, le CAC 40 français de 0,04%, et le DAX 30 allemand de 0,16%.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que l'engagement de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisant".
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,15 et 0,95%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,43 et 0,31%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,93 et 1,16%.
Ce n'étaient pas les seules contre-performances, le fournisseur de vêtements Gerry Weber International dégringolant de 10,04% à Francfort suite à des revenus se limitant à 11,5 millions d'euros pour le troisième trimestre, au lieu des 12,8 attendus, et à la révision de ses revenus annuels vers plus de modestie.
Fresenius SE bondissait par contre de 4,46% après que sa branche santé Helios ait accepté de débourser 3,07 milliards d'euros pour 43 établissements du pays appartenant à Rhoen-Klinikum, créant ainsi la plus grande chaîne de cliniques privées d'Europe.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,17%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Glencore Xstrata fondait de 1,32%, et Anglo American de 1,62%, tandis que Randgold Resources et Polymetal se retrouvaient en queue de peloton avec 2,25% et 3,32%.
La City était plus divisée, Lloyds Banking s'effondrant de 1,21% et Barclays de 0,34%, tandis que HSBC Holdings arrachait 0,28% et la Royal Bank of Scotland 1,33%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de0,01 %, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer un frémisseent de 0,07%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.