Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé le sourire ce jeudi matin, grâce à de belles performances germaniques, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de l'émettrice de son adversaire ait montré que ses membres étaient toujours divisés sur le moment où elle devrait diminuer l'ampleur de ses coupes de pouce.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,10%, le CAC 40 français de 0,96%, et le DAX 30 allemand de 1,04%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fourni son estimation préliminaire du baromètre de l'activité du secteur secondaire de l'Allemagne avait bondi depuis 50,7 vers 52,0 pour août, alors qu'il ne semblait pas devoir dépasser 51,1 pour la période considérée.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 51,3 à 52,4, sa valeur la plus élevée en six mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,8 semblait probable.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait d'autre part des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,29%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,02 et 0,52%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,38 et 1,64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,72 et 1,54%.
Royal Ahold, propriétaire des supermarchés Stop & Shop, s'envolait de 4,58%, après avoir revendiqué des bénéfices d'exploitation en cours dépassant les espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,73%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays grimpait de 0,77% et HSBC Holdings de 1,09%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en tête de peloton avec 1,50 et 1,89%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières suivaient le mouvement, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement 1,09 et 0,91%, leurs rivaux Antofagasta et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 1,96 et 2,12%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,41% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,56%.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
La zone euro comptait d'autre part fournir en cours de matinée les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,10%, le CAC 40 français de 0,96%, et le DAX 30 allemand de 1,04%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fourni son estimation préliminaire du baromètre de l'activité du secteur secondaire de l'Allemagne avait bondi depuis 50,7 vers 52,0 pour août, alors qu'il ne semblait pas devoir dépasser 51,1 pour la période considérée.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 51,3 à 52,4, sa valeur la plus élevée en six mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,8 semblait probable.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait d'autre part des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,29%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,02 et 0,52%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,38 et 1,64%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,72 et 1,54%.
Royal Ahold, propriétaire des supermarchés Stop & Shop, s'envolait de 4,58%, après avoir revendiqué des bénéfices d'exploitation en cours dépassant les espérances pour le second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,73%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays grimpait de 0,77% et HSBC Holdings de 1,09%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en tête de peloton avec 1,50 et 1,89%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières suivaient le mouvement, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement 1,09 et 0,91%, leurs rivaux Antofagasta et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 1,96 et 2,12%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,41% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,56%.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
La zone euro comptait d'autre part fournir en cours de matinée les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.