En mai dernier, notre surpondération était axée tant sur les actions américaines que sur les actions européennes, avec une préférence pour les thèmes du Big Data, de la santé et des small caps européennes. Sur les marchés obligataires, nous avions décidé de maintenir notre surpondération d’autant que le prix du pétrole avait entamé une correction baissière qui a d’ailleurs pesé sur les anticipations d’inflation. À l’heure actuelle, les signes de faiblesse économique se multiplient dans l’essentiel des pays du G20.