Les principales places européennes restent bien orientées, après l'annonce en début d'après-midi d'une révision à la hausse du PIB américain pour le quatrième trimestre.
Un peu avant 17h, le Footsie 100 recule de 0,2%, mais le Footsie MIB (Milan) progresse dans des proportions équivalentes. Le BEL 20 (Bruxelles) et l'Ibex 35 (Madrid) grappillent quant à eux 0,1%, tandis que l'AEX (Amsterdam) gagne 0,3%, tout comme le Dax et le SMI (Zürich). Enfin, le CAC 40 avance de 0,4%.
'La probabilité d'un 'Hard Brexit', correspondant à la sortie du marché unique européen et de l'union douanière, semble se renforcer. Le discours actuel des politiques suggère en effet la volonté de préparer l'opinion publique à ce scenario éventuel', analyse-t-on dans les rangs de Legg Mason.
'Craignant de perdre du personnel performant, les banques suivent avec prudence les démarches visant à déplacer des travailleurs basés à Londres vers des centres continentaux tels que Francfort, Paris et Luxembourg ou à les rémunérer et à embaucher des employés sur place', complètent les équipes de Saxo Banque.
Concernant les indicateurs, l'inflation en Allemagne a été mesurée à +1,5% ce mois-ci en première estimation par Destatis, après une progression de 2,2% en février qui avait constitué un plus haut de 4 ans et demi. Les économistes étaient moins pessimistes, anticipant une inflation de 1,9%.
De l'autre côté de l'Atlantique, la croissance de l'économie américaine au quatrième trimestre a été revue à la hausse à 2,1% en rythme annualisé, contre 1,9% en deuxième estimation, selon une troisième estimation publiée jeudi par le Département du Commerce.
Le Département américain du Travail a par ailleurs enregistré 258.000 nouveaux inscrits hebdomadaires au chômage lors de la semaine close le 25 mars, soit un recul de 3.000 en rythme hebdomadaire (chiffre non révisé). Cette légère baisse constitue une déception dans la mesure où les économistes tablaient en moyenne sur un repli plus prononcé autour de 245.000.
Sur le marché des changes, l'euro cède 0,3% environ face au dollar à 1,0733, tandis que le baril de Brent est reparti à la hausse. Il engrange actuellement un peu moins de 0,5% à 52,7 dollars.
Enfin, du côté des valeurs, le London Stock Exchange (LSE) (+0,6%) a pris acte de l'interdiction du projet de fusion avec Deutsche Börse prononcée hier par la Commission européenne. L'opérateur boursier n'est pas d'accord avec l'appréciation du régulateur et a annoncé 200 millions de livres de rachat d'actions, soit 1,8% de sa capitalisation.
A Zürich, Novartis (SIX:NOVN) (+0,4%) a fait savoir ce jeudi que l'autorité américaine du médicament (FDA) a accordé une revue prioritaire à son traitement pédiatrique expérimental contre la leucémie. Roche (SIX:ROG) (+0,6%) a de son côté indiqué qu'un comité d'experts de cette même FDA a recommandé d'approuver le rituximab en perfusion dans le traitement de certains cancers du sang.
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Un peu avant 17h, le Footsie 100 recule de 0,2%, mais le Footsie MIB (Milan) progresse dans des proportions équivalentes. Le BEL 20 (Bruxelles) et l'Ibex 35 (Madrid) grappillent quant à eux 0,1%, tandis que l'AEX (Amsterdam) gagne 0,3%, tout comme le Dax et le SMI (Zürich). Enfin, le CAC 40 avance de 0,4%.
'La probabilité d'un 'Hard Brexit', correspondant à la sortie du marché unique européen et de l'union douanière, semble se renforcer. Le discours actuel des politiques suggère en effet la volonté de préparer l'opinion publique à ce scenario éventuel', analyse-t-on dans les rangs de Legg Mason.
'Craignant de perdre du personnel performant, les banques suivent avec prudence les démarches visant à déplacer des travailleurs basés à Londres vers des centres continentaux tels que Francfort, Paris et Luxembourg ou à les rémunérer et à embaucher des employés sur place', complètent les équipes de Saxo Banque.
Concernant les indicateurs, l'inflation en Allemagne a été mesurée à +1,5% ce mois-ci en première estimation par Destatis, après une progression de 2,2% en février qui avait constitué un plus haut de 4 ans et demi. Les économistes étaient moins pessimistes, anticipant une inflation de 1,9%.
De l'autre côté de l'Atlantique, la croissance de l'économie américaine au quatrième trimestre a été revue à la hausse à 2,1% en rythme annualisé, contre 1,9% en deuxième estimation, selon une troisième estimation publiée jeudi par le Département du Commerce.
Le Département américain du Travail a par ailleurs enregistré 258.000 nouveaux inscrits hebdomadaires au chômage lors de la semaine close le 25 mars, soit un recul de 3.000 en rythme hebdomadaire (chiffre non révisé). Cette légère baisse constitue une déception dans la mesure où les économistes tablaient en moyenne sur un repli plus prononcé autour de 245.000.
Sur le marché des changes, l'euro cède 0,3% environ face au dollar à 1,0733, tandis que le baril de Brent est reparti à la hausse. Il engrange actuellement un peu moins de 0,5% à 52,7 dollars.
Enfin, du côté des valeurs, le London Stock Exchange (LSE) (+0,6%) a pris acte de l'interdiction du projet de fusion avec Deutsche Börse prononcée hier par la Commission européenne. L'opérateur boursier n'est pas d'accord avec l'appréciation du régulateur et a annoncé 200 millions de livres de rachat d'actions, soit 1,8% de sa capitalisation.
A Zürich, Novartis (SIX:NOVN) (+0,4%) a fait savoir ce jeudi que l'autorité américaine du médicament (FDA) a accordé une revue prioritaire à son traitement pédiatrique expérimental contre la leucémie. Roche (SIX:ROG) (+0,6%) a de son côté indiqué qu'un comité d'experts de cette même FDA a recommandé d'approuver le rituximab en perfusion dans le traitement de certains cancers du sang.
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