Tout comme en Europe, le spectaculaire rebond des cours du pétrole (+6,4% à 69,65$) a soutenu les indices US... mais le lien quasi mécanique qui lie les évolution de l'Euro-Stoxx et du baril ne fonctionne que très partiellement outre-Atlantique depuis une bonne dizaine de jours.
Le bénéfice de la hausse du baril s'est littéralement dissipée d'entrée de jeu à Wall Street: les +0,7% initiaux n'ont tenu que la première demi-heure avant que les indices US se mettent à ronronner durant 6 longues heures.
Le Dow Jones et le S&P-500 ont grappillé respectivement +0,2% et +0,28% tandis que le Nasdaq a fini quasi inchangé (+0,05% après une bonne partie de la séance passée dans le rouge) du fait des prises de profit sur les valeurs biotechnologies qui avaient flambé la veille (Regeneron -3,25%, Biomarin -3%, Incyte -2,5%).
Le 'Dow' a fini dans le vert essentiellement grâce à la fermeté de Chevron (NYSE:CVX) (+1,65%) et Exxon Mobil (NYSE:XOM) (+1%).
Le 'S&P' a été soutenu par Range +6,3%, Anadako +5,5%, Marathon +5%, Diamond Offshore et Devon +4,2%, Halliburton et Apache (NYSE:APA) +3%.
Sur l'ensemble de la semaine, les indices US ont glissé de -0,85 à -0,9% en dépit des 'minutes' de la FED toujours aussi 'dovish' et les efforts de Janet Yellen pour rassurer Wall Street en affirmant que l'économie américaine continuait de croître de manière 'robuste' et que la confirmation de signes de remontée de l'inflation justifieraient de procéder au relèvement graduel des taux... sans se départir d'une approche prudente compte tenu des risques exogènes qui menacent la croissance US.
Le 'temps des banques centrales' va céder la place au 'temps des trimestriels' avec le coup d'envoi qui sera donné lundi soir par Alcoa (NYSE:AA).
Ce 1er trimestre pourrait constituer le plus mauvais millésime depuis le 1er semestre 2009 avec une baisse de -7,5% des bénéfices des valeurs du S&P-500.
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Le bénéfice de la hausse du baril s'est littéralement dissipée d'entrée de jeu à Wall Street: les +0,7% initiaux n'ont tenu que la première demi-heure avant que les indices US se mettent à ronronner durant 6 longues heures.
Le Dow Jones et le S&P-500 ont grappillé respectivement +0,2% et +0,28% tandis que le Nasdaq a fini quasi inchangé (+0,05% après une bonne partie de la séance passée dans le rouge) du fait des prises de profit sur les valeurs biotechnologies qui avaient flambé la veille (Regeneron -3,25%, Biomarin -3%, Incyte -2,5%).
Le 'Dow' a fini dans le vert essentiellement grâce à la fermeté de Chevron (NYSE:CVX) (+1,65%) et Exxon Mobil (NYSE:XOM) (+1%).
Le 'S&P' a été soutenu par Range +6,3%, Anadako +5,5%, Marathon +5%, Diamond Offshore et Devon +4,2%, Halliburton et Apache (NYSE:APA) +3%.
Sur l'ensemble de la semaine, les indices US ont glissé de -0,85 à -0,9% en dépit des 'minutes' de la FED toujours aussi 'dovish' et les efforts de Janet Yellen pour rassurer Wall Street en affirmant que l'économie américaine continuait de croître de manière 'robuste' et que la confirmation de signes de remontée de l'inflation justifieraient de procéder au relèvement graduel des taux... sans se départir d'une approche prudente compte tenu des risques exogènes qui menacent la croissance US.
Le 'temps des banques centrales' va céder la place au 'temps des trimestriels' avec le coup d'envoi qui sera donné lundi soir par Alcoa (NYSE:AA).
Ce 1er trimestre pourrait constituer le plus mauvais millésime depuis le 1er semestre 2009 avec une baisse de -7,5% des bénéfices des valeurs du S&P-500.
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