Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi, sur fond de bruits savamment distillés concernant une éventuelle diminution des coups de pouce de l'émettrice de son adversaire.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5647 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5637, prenant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5606, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,5655, son plafond de deux mois et demi établi le même jour.
Les yeux étaient tournés vers la publication après-demain du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Elle a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro et le yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8520, et le GBP/JPY frémissant de 0,10% pour se hisser à 152,63.
Le Japon avait enregistré à l'aube un déficit de 1,024 billions de JPY pour son commerce extérieur, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5647 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5637, prenant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5606, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,5655, son plafond de deux mois et demi établi le même jour.
Les yeux étaient tournés vers la publication après-demain du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Elle a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro et le yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8520, et le GBP/JPY frémissant de 0,10% pour se hisser à 152,63.
Le Japon avait enregistré à l'aube un déficit de 1,024 billions de JPY pour son commerce extérieur, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.