A mi-séance sur le Vieux Continent, le prochain contrat à terme sur le baril de Brent de mer du Nord ne parvenait pas à rebondir franchement ce midi (+ 0,3% à 65,7 dollars), le WTI américain se tassant de 0,2% à 55,6 dollars.
Hier, les barils de référence ont enchaîné une séance de baisse de plus 'en raison d'inquiétudes sur un excès d'offre sur le marché mondial', explique un spécialiste. La ralentissement économique pèse notamment sur la demande des pays émergents alors que l'offre demeure orientée à la hausse. Telle était d'ailleurs l'analyse de l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole.
Ce matin, dans son propre rapport mensuel, l'Agence internationale de l'Energie (AIE) s'est elle aussi fait l'écho de doutes sur la consommation : 'la demande de pétrole ralentit dans plusieurs pays extérieurs à l'OCDE (qui regroupe les pays industrialisés, ndlr), l'impact de la hausse du prix du baril sur un an étant amplifié par la dévaluations des devises (émergentes, ndlr) et le ralentissement économique', indique notamment le document.
De plus, l'offre 'augmente rapidement' en raison de l'atteinte de productions record de la part de l'Arabie saoudite, de la Russie et des Etats-Unis, souligne l'AIE, ce qui fait plus que compenser les déclins de l'Iran et du Venezuela.
EG
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Hier, les barils de référence ont enchaîné une séance de baisse de plus 'en raison d'inquiétudes sur un excès d'offre sur le marché mondial', explique un spécialiste. La ralentissement économique pèse notamment sur la demande des pays émergents alors que l'offre demeure orientée à la hausse. Telle était d'ailleurs l'analyse de l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole.
Ce matin, dans son propre rapport mensuel, l'Agence internationale de l'Energie (AIE) s'est elle aussi fait l'écho de doutes sur la consommation : 'la demande de pétrole ralentit dans plusieurs pays extérieurs à l'OCDE (qui regroupe les pays industrialisés, ndlr), l'impact de la hausse du prix du baril sur un an étant amplifié par la dévaluations des devises (émergentes, ndlr) et le ralentissement économique', indique notamment le document.
De plus, l'offre 'augmente rapidement' en raison de l'atteinte de productions record de la part de l'Arabie saoudite, de la Russie et des Etats-Unis, souligne l'AIE, ce qui fait plus que compenser les déclins de l'Iran et du Venezuela.
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