Il y a une vie après Pfizer : c'est un peu le sens du message que la direction du groupe pharmaceutique britannique AstraZeneca, qui a finalement rejeté une offre finale à 55 livres par titre de le part de l'américain en mai dernier, tente d'envoyer ce matin dans le cadre d'une journée de rencontres avec les investisseurs. Le groupe met notamment l'accent sur ses perspectives de croissance.
L'action AstraZeneca n'est pas impressionnée outre-mesure à la Bourse de Londres, où elle se tasse de 0,2% à 4.586,5 pence, alors que le FTSE 100 prend 0,5%.
A ce jour, l'action AstraZeneca cote environ 46 livres, soit autant que le prix proposé par Pfizer au tout début de leurs duscussions.
Ce matin, AstraZeneca a vanté les mérites de son 'pipeline' de molécules en développement, insistant sur le fait qu'il dispose de 14 candidats-médicaments en phase III de recherche clinique ou en cours d'enregistrement. Le groupe s'attend a effectuer de 14 à 16 demandes d'approbation de molécules et à obtenir de 8 à 10 autorisations en 2015 et 2016.
'Nos cinq plateformes de croissance - le Brilinta, le diabète, les pathologies respiratoires, les marchés émergents et le Japon - représentent maintenant plus de la moitié de notre chiffre d'affaires', indique la note de recherche. L'oncologie deviendra la sixième de ces plateformes, prévoit AstraZeneca, et elle devrait concentrer le quart des ventes en 2023.
'Depuis 2012, nous avons plus que doublé le nombre de médicaments potentiels en fin de développement et nous sommes bien partis pour renouer avec la croissance en 2017', a déclaré le directeur général Pascal Soriot.
Au final, AstraZeneca s'attend toujours à réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 45 milliards de dollars d'ici 2023. Durant la période, les bénéfices devraient progresser plus vite que le chiffre d'affaires, tirant ainsi le cash-flow vers le haut.
Notons qu'en vertu du droit britannique relatif aux fusions-acquisitions, Pfizer pourra de nouveau s'intéresser au dossier AstraZeneca une fois une période de six mois écoulée, soit à partir de la fin du mois de novembre.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'action AstraZeneca n'est pas impressionnée outre-mesure à la Bourse de Londres, où elle se tasse de 0,2% à 4.586,5 pence, alors que le FTSE 100 prend 0,5%.
A ce jour, l'action AstraZeneca cote environ 46 livres, soit autant que le prix proposé par Pfizer au tout début de leurs duscussions.
Ce matin, AstraZeneca a vanté les mérites de son 'pipeline' de molécules en développement, insistant sur le fait qu'il dispose de 14 candidats-médicaments en phase III de recherche clinique ou en cours d'enregistrement. Le groupe s'attend a effectuer de 14 à 16 demandes d'approbation de molécules et à obtenir de 8 à 10 autorisations en 2015 et 2016.
'Nos cinq plateformes de croissance - le Brilinta, le diabète, les pathologies respiratoires, les marchés émergents et le Japon - représentent maintenant plus de la moitié de notre chiffre d'affaires', indique la note de recherche. L'oncologie deviendra la sixième de ces plateformes, prévoit AstraZeneca, et elle devrait concentrer le quart des ventes en 2023.
'Depuis 2012, nous avons plus que doublé le nombre de médicaments potentiels en fin de développement et nous sommes bien partis pour renouer avec la croissance en 2017', a déclaré le directeur général Pascal Soriot.
Au final, AstraZeneca s'attend toujours à réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 45 milliards de dollars d'ici 2023. Durant la période, les bénéfices devraient progresser plus vite que le chiffre d'affaires, tirant ainsi le cash-flow vers le haut.
Notons qu'en vertu du droit britannique relatif aux fusions-acquisitions, Pfizer pourra de nouveau s'intéresser au dossier AstraZeneca une fois une période de six mois écoulée, soit à partir de la fin du mois de novembre.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.