Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive à l'approche de la révélation de résultats américains de cet après-midi, tandis que les craintes découlant des problèmes financiers de la zone euro persistaient après des émissions de dettes nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.52%.
Les observateurs demeuraient en effet prudents après que l'Espagne ait écoulé 725 millions d'euros en bons à trois mois à 0.63%, contre 0.38% en mars, et 1.2 milliards à six mois à 1.58%, contre 0.83% le mois dernier.
Cet évènement survenait au lendemain de l'aveu par le Banque d'Espagne de la rentrée en récession du pays, son produit intérieur brut ayant régressé de 0.4% au cours des trois mois achevés en mars, et ce après une stagnation au troisième trimestre 2011 et une contraction de 0.3% au quatrième.
L'Italie a pour sa part écoulé 3.34 milliards d'obligations gouvernementales à leur taux le plus élevé depuis janvier.
Le moral a toutefois reçu un signe positif des Pays-Bas, qui ont pour leur part réussi leur adjudication de 1.99 milliards d'euros d'emprunts à deux et vingt-cinq ans.
Cette manoeuvre était très surveillée, sur fond de crainte d'une perte par le pays de sa notation monétaire triple A suite à l'effondrement lundi de son gouvernement, découlant de l'échec des pourparlers concernant le budget d'austérité pour 2013.
Texas Instruments était attendu sur le devant de la scène, le fournisseur de puces électroniques ayant bondi de 3.7% après la fermeture, ayant prévu des revenus du second trimestre qui dépasseraient les estimations précédentes, qui marquerait la fin d'une baisse des commandes dûe à la diminution prolongée des stocks de ses clients.
Parmi les autres résultats, Facebook Inc. a avoué le premier recul trimestriel de ses revenus en plus de deux ans, ce qui pourarit indiquer que l'explosion de son réseau social pourrait être en train de se modérer, alors qu'il s'apprête à constituer la plus grosse introduction en bourse d'une entreprise en ligne de tous les temps.
L'aéronautique était aussi attendue au tournant, Boeing ayant pris de l'avance sur Airbus dans la course pour remporter un appel d'offre qui pourrait dépasser 15 milliards d'USD lancé par United Continental Holdings, mais d'intenses négociations doivent encore avoir lieu avant qu'un accord soit conclu.
Le premier a ainsi grignoté 0.01% sur les transactions d'après fermeture.
Les négociations entre Yahoo Japan Corp et son actionnaire majeur Yahoo Inc. en vue d'un rachat d'actions n'ont finalement débouché sur rien, mais les deux compagnies ont toutefois laissé la porte ouverte à d'autres pourparlers.
Dans le domaine biotechnologique, Illumina Inc. a dérapé de 1.37% sur les échanges de fin de soirée, après avoir repoussé une offre publique d'achat hostile du fabricant de médicaments suisse Roche Holding, après avoir pourtant fait savoir hier que ses profits du premier trimestre avaient dépassé les espérances, et que ses prévisions annuelles étaient confirmées.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.92%, le CAC 40 français de 1.19%, le DAX 30 allemand de 0.68% et le FTSE 100 britannique de 0.37%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.1%, et le Nikkei 225 japonais plongé de 0.08%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part divulguer cet après-midi un rapport sur l'inflation des coûts des logements, tandis que le groupe de recherches Conference Board publiera son baromètre de la confiance des consommateurs, imité par le gouvernement concernant le volume des ventes d'habitations neuves.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.52%.
Les observateurs demeuraient en effet prudents après que l'Espagne ait écoulé 725 millions d'euros en bons à trois mois à 0.63%, contre 0.38% en mars, et 1.2 milliards à six mois à 1.58%, contre 0.83% le mois dernier.
Cet évènement survenait au lendemain de l'aveu par le Banque d'Espagne de la rentrée en récession du pays, son produit intérieur brut ayant régressé de 0.4% au cours des trois mois achevés en mars, et ce après une stagnation au troisième trimestre 2011 et une contraction de 0.3% au quatrième.
L'Italie a pour sa part écoulé 3.34 milliards d'obligations gouvernementales à leur taux le plus élevé depuis janvier.
Le moral a toutefois reçu un signe positif des Pays-Bas, qui ont pour leur part réussi leur adjudication de 1.99 milliards d'euros d'emprunts à deux et vingt-cinq ans.
Cette manoeuvre était très surveillée, sur fond de crainte d'une perte par le pays de sa notation monétaire triple A suite à l'effondrement lundi de son gouvernement, découlant de l'échec des pourparlers concernant le budget d'austérité pour 2013.
Texas Instruments était attendu sur le devant de la scène, le fournisseur de puces électroniques ayant bondi de 3.7% après la fermeture, ayant prévu des revenus du second trimestre qui dépasseraient les estimations précédentes, qui marquerait la fin d'une baisse des commandes dûe à la diminution prolongée des stocks de ses clients.
Parmi les autres résultats, Facebook Inc. a avoué le premier recul trimestriel de ses revenus en plus de deux ans, ce qui pourarit indiquer que l'explosion de son réseau social pourrait être en train de se modérer, alors qu'il s'apprête à constituer la plus grosse introduction en bourse d'une entreprise en ligne de tous les temps.
L'aéronautique était aussi attendue au tournant, Boeing ayant pris de l'avance sur Airbus dans la course pour remporter un appel d'offre qui pourrait dépasser 15 milliards d'USD lancé par United Continental Holdings, mais d'intenses négociations doivent encore avoir lieu avant qu'un accord soit conclu.
Le premier a ainsi grignoté 0.01% sur les transactions d'après fermeture.
Les négociations entre Yahoo Japan Corp et son actionnaire majeur Yahoo Inc. en vue d'un rachat d'actions n'ont finalement débouché sur rien, mais les deux compagnies ont toutefois laissé la porte ouverte à d'autres pourparlers.
Dans le domaine biotechnologique, Illumina Inc. a dérapé de 1.37% sur les échanges de fin de soirée, après avoir repoussé une offre publique d'achat hostile du fabricant de médicaments suisse Roche Holding, après avoir pourtant fait savoir hier que ses profits du premier trimestre avaient dépassé les espérances, et que ses prévisions annuelles étaient confirmées.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.92%, le CAC 40 français de 1.19%, le DAX 30 allemand de 0.68% et le FTSE 100 britannique de 0.37%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.1%, et le Nikkei 225 japonais plongé de 0.08%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part divulguer cet après-midi un rapport sur l'inflation des coûts des logements, tandis que le groupe de recherches Conference Board publiera son baromètre de la confiance des consommateurs, imité par le gouvernement concernant le volume des ventes d'habitations neuves.