Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la hausse ce mardi, l'attente d'encouragements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale remontant le moral des investisseurs à l'orée de sa réunion de cette semaine, dans l'ombre persistante de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale de mercredi étaient en effet très attendus, sur fond de rumeurs concernant la possibilité d'une troisième série d'assouplissements monétaires de sa part.
L'atmosphère s'était aussi trouvée éclaircie par l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui retombé à 7.09% après avoir culminé aujourd'hui à 7.13%, se situant cependant toujours au-dessus du seuil des 7%, dans la crainte que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales récemment fournis ne soient pas suffisants.
Oracle était sur le devant de la scène, après avoir revendiqué dans la soirée d'hier des bénéfices supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre, diffusant cette information trois jours plus tôt que prévu, l'annonce du départ imminent d'un haut responsable des ventes ayant alimenté les rumeurs de stagnation, bondissant de 3.8% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine informatique, Microsoft a pris 0.64% avant l'ouverture après avoir dévoilé hier sa gamme de tablettes lors d'une conférence de presse à Los Angeles, indiquant un changement majeur de sa stratégie de lutte contre Apple.
Groupon a pour sa part grignoté 0.18% après la fermeture à l'approche de l'assemblée générale de ses actionnaires, le site d'achats groupés ayant engrangé lundi 10% après que Morgan Stanley en ait remonté l'appréciation, le comptant parmi les "poids lourds".
La finance était elle aussi sous les feux de l'actualité, en raison du spectre tenace de la zone euro, tandis qu'il se disait que Julius Baer se trouvait en pourparlers avec la Bank of America dans le but de racheter la branche de gestion de capitaux hors Etats-Unis de Merrill Lynch, pour une somme qui pourrait atteindre 2 milliards d'USD.
La banque JP Morgan s'est élevée de 0.32% après la cloche, alors qu'une mise à jour de l'état de son bureau d'investissement principal était attendue lors de la divulgation de ses résultats du second trimestre, attendue le 13 juillet, ses collègues étant inquiets qu'une législation limitant la taille des banques d'affaires de Wall Street ne soit mise en place suite au scadale de ses 2 milliards d'USD de pertes sur des opérations hasardeuses.
Le journal New York Times a d'autre part fait savoir que Goldman Sachs avait désormais payé la majeure partie des frais de la défense juridique de Rajat Gupta, un ancien membre de son conseil d'administration, dans une affaire de délit d'initié ayant entraîné sa condamnation, s'élevant de 0.36% après la fermeture d'hier.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter FedEx, Barnes & Noble et Adobe Systems, dont les rentrées sont attendues aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 conquérant 0.41%, le CAC 40 français 0.3%, le DAX 30 allemand 0.55% et le FTSE 100 britannique 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.4%, et le Nikkei 225 japonais de 0.8%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire accordés et celui des chantiers entamés, les chefs d'état du groupe des 20 pays les plus développés tenant quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale de mercredi étaient en effet très attendus, sur fond de rumeurs concernant la possibilité d'une troisième série d'assouplissements monétaires de sa part.
L'atmosphère s'était aussi trouvée éclaircie par l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui retombé à 7.09% après avoir culminé aujourd'hui à 7.13%, se situant cependant toujours au-dessus du seuil des 7%, dans la crainte que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales récemment fournis ne soient pas suffisants.
Oracle était sur le devant de la scène, après avoir revendiqué dans la soirée d'hier des bénéfices supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre, diffusant cette information trois jours plus tôt que prévu, l'annonce du départ imminent d'un haut responsable des ventes ayant alimenté les rumeurs de stagnation, bondissant de 3.8% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine informatique, Microsoft a pris 0.64% avant l'ouverture après avoir dévoilé hier sa gamme de tablettes lors d'une conférence de presse à Los Angeles, indiquant un changement majeur de sa stratégie de lutte contre Apple.
Groupon a pour sa part grignoté 0.18% après la fermeture à l'approche de l'assemblée générale de ses actionnaires, le site d'achats groupés ayant engrangé lundi 10% après que Morgan Stanley en ait remonté l'appréciation, le comptant parmi les "poids lourds".
La finance était elle aussi sous les feux de l'actualité, en raison du spectre tenace de la zone euro, tandis qu'il se disait que Julius Baer se trouvait en pourparlers avec la Bank of America dans le but de racheter la branche de gestion de capitaux hors Etats-Unis de Merrill Lynch, pour une somme qui pourrait atteindre 2 milliards d'USD.
La banque JP Morgan s'est élevée de 0.32% après la cloche, alors qu'une mise à jour de l'état de son bureau d'investissement principal était attendue lors de la divulgation de ses résultats du second trimestre, attendue le 13 juillet, ses collègues étant inquiets qu'une législation limitant la taille des banques d'affaires de Wall Street ne soit mise en place suite au scadale de ses 2 milliards d'USD de pertes sur des opérations hasardeuses.
Le journal New York Times a d'autre part fait savoir que Goldman Sachs avait désormais payé la majeure partie des frais de la défense juridique de Rajat Gupta, un ancien membre de son conseil d'administration, dans une affaire de délit d'initié ayant entraîné sa condamnation, s'élevant de 0.36% après la fermeture d'hier.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter FedEx, Barnes & Noble et Adobe Systems, dont les rentrées sont attendues aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 conquérant 0.41%, le CAC 40 français 0.3%, le DAX 30 allemand 0.55% et le FTSE 100 britannique 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.4%, et le Nikkei 225 japonais de 0.8%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire accordés et celui des chantiers entamés, les chefs d'état du groupe des 20 pays les plus développés tenant quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.