Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi, le moral ayant repris des couleurs grâce à l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au nouveau fonds de secours permanent régional, tandis que les regards se tournaient vers la prochaine réunion de la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.58%.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le Mécanisme Européen de Stabilité, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Les conclusions de la réunion de la Fed attendus demain faisaient aussi des gorges chaudes, les résultats décevants de l'emploi dévoilés vendredi ayant renforcé l'hypothèse d'un nouveau coup de pouce, tirant du coup l'étalon américain vers le bas.
Il a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, prévenant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne parvenaient pas à faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Le nom d'Apple était sur toutes les lèvres en raison de la présentation iminente de son cinquième iPhone, qui devrait vraisemblablement offrir pour la première fois la connectivité sans fil 4G et un écran de 4 pouces au lieu des 3.5 de son prédéceseur, engrangeant du coup 1.11% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine technologique, le fournisseur de services informatiques IBM a déclaré dans un communiqué que son logiciel Connections permettrait de lire des informations provenant de Twitter et Facebook.
Ce dernier a quand à lui rebondi de 3.91% avant les premières transactions, son directeur général Mark Zuckerberg ayant affirmé hier que le géant des réseaux sociaux devrait générer davantage de revenus à partir des terminaux mobiles que des ordinateurs de bureau.
La finance était aussi surveillée, les établissements du vieux continent ayant bénéficié de la décision de justice allemande, Citigroup gagnant 0.64% et la Bank of America 1.33% avant l'ouverture des échanges.
Tout n'était cependant pas rose, un fléchissement étant attendu de la part du fournisseur de puces électroniques Texas Instruments, ayant laissé échapper 0.1% après la fermeture après avoir diminué mardi les fourchettes attendues pour son chiffre d'affaires et ses bénéfices du troisième trimestre.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.85%, le CAC 40 français de 0.64%, le DAX 30 allemand de 0.84% et le FTSE 100 britannique de 0.17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 1.1%, et le Nikkei 225 japonais 1.73%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec les variations de leurs prix à l'importation, ainsi qu'avec leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.58%.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le Mécanisme Européen de Stabilité, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Les conclusions de la réunion de la Fed attendus demain faisaient aussi des gorges chaudes, les résultats décevants de l'emploi dévoilés vendredi ayant renforcé l'hypothèse d'un nouveau coup de pouce, tirant du coup l'étalon américain vers le bas.
Il a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, prévenant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne parvenaient pas à faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Le nom d'Apple était sur toutes les lèvres en raison de la présentation iminente de son cinquième iPhone, qui devrait vraisemblablement offrir pour la première fois la connectivité sans fil 4G et un écran de 4 pouces au lieu des 3.5 de son prédéceseur, engrangeant du coup 1.11% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine technologique, le fournisseur de services informatiques IBM a déclaré dans un communiqué que son logiciel Connections permettrait de lire des informations provenant de Twitter et Facebook.
Ce dernier a quand à lui rebondi de 3.91% avant les premières transactions, son directeur général Mark Zuckerberg ayant affirmé hier que le géant des réseaux sociaux devrait générer davantage de revenus à partir des terminaux mobiles que des ordinateurs de bureau.
La finance était aussi surveillée, les établissements du vieux continent ayant bénéficié de la décision de justice allemande, Citigroup gagnant 0.64% et la Bank of America 1.33% avant l'ouverture des échanges.
Tout n'était cependant pas rose, un fléchissement étant attendu de la part du fournisseur de puces électroniques Texas Instruments, ayant laissé échapper 0.1% après la fermeture après avoir diminué mardi les fourchettes attendues pour son chiffre d'affaires et ses bénéfices du troisième trimestre.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.85%, le CAC 40 français de 0.64%, le DAX 30 allemand de 0.84% et le FTSE 100 britannique de 0.17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 1.1%, et le Nikkei 225 japonais 1.73%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec les variations de leurs prix à l'importation, ainsi qu'avec leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.