Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce mercredi après-midi, l'ambiance se trouvant plombée par le spectre d'une offensive des Etats-Unis en Syrie et l'épouvantail d'une fermeture imminente des vannes de la banque centrale de ces derniers.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un saut de puce de 0,04%.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien refaisait surface surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La prudence restait de mise après que les résultats positifs de la part des usines américaines aient encouragé hier les rumeurs persistantes de resserrage de boulons dès la réunion que la Réserve Fédérale tiendra les 17 et 18 septembre.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par l'institut de gestion des approvisionnements a ainsi frémi depuis 55,4 vers 55,7 pour le mois passé, alors qu'un faux pas à 54,0 était redouté.
Les télécommunications demeuraient sous les feux de l'actualité, l'opérateur téléphonique britannique Vodafone ayant confirmé céder à son collègue américain Verizon Communications les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD, permettant à celui-ci de grignoter 0,09% après la clôture, après avoir dégringolé de 2% auparavant.
Nokia s'envolait pour sa part de 2,98% dans le même temps, après que Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, ait accepté d'en racheter la branche de téléphonie mobile pour 7,2 milliards d'USD.
Ce dernier laissait cependant échapper 0,49% en pré-ouverture.
Les constructeurs automobiles étaient aussi attendus au tournant, après que l'agence de notation Moody's Investor Services ait déclaré aujourd'hui s'attendre à ce que Ford, General Motors, Fiat et Peugeot-Citroën essuient un total de 5 milliards d'euros de pertes annuelles dans la région.
Le réseau social professionnel LinkedIn dérapait de 2,07% après la fin des hostilités après qu'il se soit dit qu'il avait déposé une demande de levée d'environ 1 milliard d'USD par émission d'actions, lesquelles ont quintuplé depuis leur mise sur le marché initiale en 2011.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Dollar General, Ciena et SAIC, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,94%, le CAC 40 français de 0,95%, le DAX 30 allemand de 0,72% et le FTSE 100 britannique de 0,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0,31%, mais le Nikkei 225 japonais avait encaissé 0,54%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un saut de puce de 0,04%.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien refaisait surface surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La prudence restait de mise après que les résultats positifs de la part des usines américaines aient encouragé hier les rumeurs persistantes de resserrage de boulons dès la réunion que la Réserve Fédérale tiendra les 17 et 18 septembre.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par l'institut de gestion des approvisionnements a ainsi frémi depuis 55,4 vers 55,7 pour le mois passé, alors qu'un faux pas à 54,0 était redouté.
Les télécommunications demeuraient sous les feux de l'actualité, l'opérateur téléphonique britannique Vodafone ayant confirmé céder à son collègue américain Verizon Communications les 45% de parts qu'il détient dans leur coentreprise Verizon Wireless pour 130 milliards d'USD, permettant à celui-ci de grignoter 0,09% après la clôture, après avoir dégringolé de 2% auparavant.
Nokia s'envolait pour sa part de 2,98% dans le même temps, après que Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, ait accepté d'en racheter la branche de téléphonie mobile pour 7,2 milliards d'USD.
Ce dernier laissait cependant échapper 0,49% en pré-ouverture.
Les constructeurs automobiles étaient aussi attendus au tournant, après que l'agence de notation Moody's Investor Services ait déclaré aujourd'hui s'attendre à ce que Ford, General Motors, Fiat et Peugeot-Citroën essuient un total de 5 milliards d'euros de pertes annuelles dans la région.
Le réseau social professionnel LinkedIn dérapait de 2,07% après la fin des hostilités après qu'il se soit dit qu'il avait déposé une demande de levée d'environ 1 milliard d'USD par émission d'actions, lesquelles ont quintuplé depuis leur mise sur le marché initiale en 2011.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Dollar General, Ciena et SAIC, dont les résultats du second trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,94%, le CAC 40 français de 0,95%, le DAX 30 allemand de 0,72% et le FTSE 100 britannique de 0,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0,31%, mais le Nikkei 225 japonais avait encaissé 0,54%.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.