Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sur la défensive ce lundi après-midi,dans l'expectative de la publication des chiffres des Etats-Unis du jour, sur fond de trouble au sujet de l'éventuelle diminution des coups de pouce de leur banque centrale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,03%.
Le département d'état au commerce américain a en effet enregistré 13,4% de transactions sur des bien immobiliers fraîchement construits de moins pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
L'informatique était sur le pied de guerre, Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, plongeant de 0,60% en pré-ouverture, en quête d'un nouveau directeur général après que l'actuel, Steve Ballmer, ait avoué qu'il partirait à la retraite dans les douze mois.
L'industrie pharmaceutique était aussi en ébullition, après qu'Amgen ait déclaré acquérir Onyx Pharmaceuticals pour 10,4 milliards d'USD, mettant ainsi un pied sur le marché lucratif du traitement du cancer.
Il bondissait du coup de 4,18% avant le début des hostilités.
Sur le front de la finance, Goldman Sachs a limogé quatre de ses directeurs techniques après qu'une erreur de programmation lui ait fait envoyer d'après le quotidien Financial Times, des ordres erronés sur des options la semaine passée.
Il ne fallait pas non plus oublier l'avertissement proféré sur la même période par l'agence Moody's Investor Services selon lequel les notations de six des plus gros établissements américains, dont il fait partie, ainsi que JP Morgan-Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo, pourraient être revues vers le bas, en raison des chances pour qu'ils ne bénéficient pas de bouées de sauvetage gouvernementales dans le future.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,63%, le CAC 40 français de 0,58% et le DAX 30 allemand de 0,27%, tandis que le FTSE 100 britannique deeurait clos pour cause de jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,65%, mais le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,03%.
Le département d'état au commerce américain a en effet enregistré 13,4% de transactions sur des bien immobiliers fraîchement construits de moins pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
L'informatique était sur le pied de guerre, Microsoft, l'ogre des systèmes d'exploitation, plongeant de 0,60% en pré-ouverture, en quête d'un nouveau directeur général après que l'actuel, Steve Ballmer, ait avoué qu'il partirait à la retraite dans les douze mois.
L'industrie pharmaceutique était aussi en ébullition, après qu'Amgen ait déclaré acquérir Onyx Pharmaceuticals pour 10,4 milliards d'USD, mettant ainsi un pied sur le marché lucratif du traitement du cancer.
Il bondissait du coup de 4,18% avant le début des hostilités.
Sur le front de la finance, Goldman Sachs a limogé quatre de ses directeurs techniques après qu'une erreur de programmation lui ait fait envoyer d'après le quotidien Financial Times, des ordres erronés sur des options la semaine passée.
Il ne fallait pas non plus oublier l'avertissement proféré sur la même période par l'agence Moody's Investor Services selon lequel les notations de six des plus gros établissements américains, dont il fait partie, ainsi que JP Morgan-Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo, pourraient être revues vers le bas, en raison des chances pour qu'ils ne bénéficient pas de bouées de sauvetage gouvernementales dans le future.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,63%, le CAC 40 français de 0,58% et le DAX 30 allemand de 0,27%, tandis que le FTSE 100 britannique deeurait clos pour cause de jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,65%, mais le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0,18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables.