Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans enthousiasme ce mardi après-midi, les opérateurs assurant leurs bénéfices découlant des récentes avancées, dans l'attente de la série de résultats américains de la semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
L'encaissement de plus-values était à l'ordre du jour à l'approche d'une série de résultats économiques portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique là où il a cours.
La popularité des actions continuait cependant à se trouver sapée des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La télécommunications étaient sur la brèche, alors qu'il se murmurait que AT&T s'apprêterait à abandonner la vente d'un intelliphone de HTC intégrant un accès aux fonctions du réseau social de Facebook après en avoir déjà raboté le prix de 100 USD.
Ses actions frémissaient du coup de 0,05% après la clôture.
Verizon Wireless, alliant les forces de Verizon Communications du Vodafone Group, semblait pour sa part sur le point de payer 7 milliards d'USD de dividende à ses co-acquéreurs, neutralisant ainsi une source de tensions entre les deux acteurs majeurs.
Le premier grimpait du coup de 0,84% après l'arrêt des transactions.
Du côté technologique, l'assembleur d'ordinateurs Dell était sur le devant de la scène après avoir accusé au mins six fabricants ded lecteur de disques optiques, parmi lesquels Hitachi, d'avoir établi une entente sur les prix de 2004 à 2010.
Clorox, spécialiste de l'eau de javel dont les produits sont toutefois aussi variés que les sacs poubelle Glad et la sauce pour salades Hidden Valley, a quand à lui déclaré vouloir augmenter son dividende de 11%, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,30%, le CAC 40 français de 0,37%, le DAX 30 allemand de 0,14% et le FTSE 100 britannique de 0,11%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0,26%, et le Nikkei 225 japonais 0,16%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
L'encaissement de plus-values était à l'ordre du jour à l'approche d'une série de résultats économiques portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique là où il a cours.
La popularité des actions continuait cependant à se trouver sapée des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La télécommunications étaient sur la brèche, alors qu'il se murmurait que AT&T s'apprêterait à abandonner la vente d'un intelliphone de HTC intégrant un accès aux fonctions du réseau social de Facebook après en avoir déjà raboté le prix de 100 USD.
Ses actions frémissaient du coup de 0,05% après la clôture.
Verizon Wireless, alliant les forces de Verizon Communications du Vodafone Group, semblait pour sa part sur le point de payer 7 milliards d'USD de dividende à ses co-acquéreurs, neutralisant ainsi une source de tensions entre les deux acteurs majeurs.
Le premier grimpait du coup de 0,84% après l'arrêt des transactions.
Du côté technologique, l'assembleur d'ordinateurs Dell était sur le devant de la scène après avoir accusé au mins six fabricants ded lecteur de disques optiques, parmi lesquels Hitachi, d'avoir établi une entente sur les prix de 2004 à 2010.
Clorox, spécialiste de l'eau de javel dont les produits sont toutefois aussi variés que les sacs poubelle Glad et la sauce pour salades Hidden Valley, a quand à lui déclaré vouloir augmenter son dividende de 11%, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,30%, le CAC 40 français de 0,37%, le DAX 30 allemand de 0,14% et le FTSE 100 britannique de 0,11%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0,26%, et le Nikkei 225 japonais 0,16%.