Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce vendredi après-midi, malgré l'ombre persistante du débrayage des administrations du pays, en l'absence de résultats économiques majeurs de sa part.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,20%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
La nervosité était palpable, les yeux rivés sur les implications du conflit budgétaire prolongé aux Etats-Unis.
Leurs contre-performances divulguées hier ont contribué à raviver le spectre des conséquences qu'il pourrait avoir sur la reprise nationale.
L'institut de gestion des approvisionnements avait ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier avait sombré depuis les 58,6 d'août jusqu'à 54,4, son niveau le plus bas en trois mois, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 57,4 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part annoncé que son rapport sur l'emploi pour septembre ne serait pas publié aujourd'hui comme prévu, en raison des retards entraînés par la mise à pied partielle des fonctionnaires, sans toutefois préciser quand il le serait.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
La finance était sur le devant de la scène, après que Jamie Dimon, directeur général de JP Morgan-Chase, ait laissé début juillet sa place de président de sa branche principale, lui faisant perdre 0,12% après la clôture.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, était aussi sous les feux de l'actualité, alors qu'il se disait qu'il s'apprêtait à vendre des espaces publicitaires sur son service d'hébergement photographique Instagram, ce qui constituerait sa première tentative de rentabiliser sa plus grosse acquisition jusque là.
Il bondissait du coup de 1,01% avant le début des hostilités.
Sur le front technologique, microsoft trébuchait de 0,09% avant l'ouverture, après que son directeur général Steve Ballmer ait reçu 1,26 millions d'USD pour l'année fiscale 2013, laissant échapper plus de la moitié de ses primes possibles.
Les bourses européennes étaient elles aussi à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,52%, le CAC 40 français de 0,53%, le DAX 30 allemand de 0,04% et le FTSE 100 britannique de 0,10%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong était clos pour cause de congés, et le Nikkei 225 japonais sombrait de 0,94%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,20%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
La nervosité était palpable, les yeux rivés sur les implications du conflit budgétaire prolongé aux Etats-Unis.
Leurs contre-performances divulguées hier ont contribué à raviver le spectre des conséquences qu'il pourrait avoir sur la reprise nationale.
L'institut de gestion des approvisionnements avait ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier avait sombré depuis les 58,6 d'août jusqu'à 54,4, son niveau le plus bas en trois mois, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 57,4 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part annoncé que son rapport sur l'emploi pour septembre ne serait pas publié aujourd'hui comme prévu, en raison des retards entraînés par la mise à pied partielle des fonctionnaires, sans toutefois préciser quand il le serait.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
La finance était sur le devant de la scène, après que Jamie Dimon, directeur général de JP Morgan-Chase, ait laissé début juillet sa place de président de sa branche principale, lui faisant perdre 0,12% après la clôture.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, était aussi sous les feux de l'actualité, alors qu'il se disait qu'il s'apprêtait à vendre des espaces publicitaires sur son service d'hébergement photographique Instagram, ce qui constituerait sa première tentative de rentabiliser sa plus grosse acquisition jusque là.
Il bondissait du coup de 1,01% avant le début des hostilités.
Sur le front technologique, microsoft trébuchait de 0,09% avant l'ouverture, après que son directeur général Steve Ballmer ait reçu 1,26 millions d'USD pour l'année fiscale 2013, laissant échapper plus de la moitié de ses primes possibles.
Les bourses européennes étaient elles aussi à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,52%, le CAC 40 français de 0,53%, le DAX 30 allemand de 0,04% et le FTSE 100 britannique de 0,10%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong était clos pour cause de congés, et le Nikkei 225 japonais sombrait de 0,94%.