Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce jeudi, l'optimisme s'étant dissipé après que la Réserve Fédérale se soit retenue de lancer un troisième volet d'injections de capitaux, tandis que planait toujours l'ombre de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La confiance des observateurs s'est en effet évanouie après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part du pays.
Le moral s'est aussi trouvé affecté par les chiffres montrant que la zone euro avait subi en juin la plus forte diminution de son activité manufacturière depuis le même mois de l'année 2009, tandis que celle de l'Allemagne ralentissait dans le même temps à son niveau le plus bas des trois dernières années.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Le secteur technologique était sur le devant de la scène, après qu''un juge américain ait sérieusement remis en question la demande d'injonction d'Apple à l'encontre de Motorola Mobility, désormais dans le giron de Google, le fournisseur de l'iPhone tâchant de sauvegarder ses positions sur un des fronts cruciauux de la guerre des brevets, et glissant de 0.38% avant l'ouverture, tandis que son adversaire grignotait 0.07%.
Johnson & Johnson était aussi sous les feux de l'actualité, alors qu'il se disait que le géant de la santé serait en train de se rapprocher d'un accord financier avec la justice américaine concernant les allégations de promotion de son médicament antipsychotique Risperdal hors du cadre de son approbation, ce qui pourrait lui coûter au moins 1.5 milliards d'USD.
Parmi ses collègues, Ligand Pharmaceuticals a engrangé 3.78% après la fermeture, prolongeant les 12% de mercredi, un de ses partenaires ayant décroché le feu vert des autorités américaines pour un traitement contre le cancer.
Du côté de la finance, des rumeurs sur Wells Fargo, quatrième banque américaine en matière d'actifs, couraient, parlant de délocalisations hors des Etats-Unis dans le cadre d'une restructuration de l'entreprise visant à minimiser ses frais de fonctionnement.
Bed, Bath & Beyond et Red Hat devraient aussi évoluer, suite à l'aveu de prévisions de rentrées inférieures aux attentes pour le second trimestre.
Le pourvoyeur de tabac Phillip Morris a quand à lui laissé échapper 0.69% en pré-ouverture après avoir revu hier ses prédictions de croissance pour 2012.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter ConAgra Foods, Carnival Corp et l'Apollo Group, dont les performances devraient être dévoilées en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.36%, le CAC 40 français de 0.56%, le DAX 30 allemand de 0.4% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dévissé de 0.8%, alors que le Nikkei 225 japonais bondissait de 0.8%.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui révéler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La confiance des observateurs s'est en effet évanouie après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part du pays.
Le moral s'est aussi trouvé affecté par les chiffres montrant que la zone euro avait subi en juin la plus forte diminution de son activité manufacturière depuis le même mois de l'année 2009, tandis que celle de l'Allemagne ralentissait dans le même temps à son niveau le plus bas des trois dernières années.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Le secteur technologique était sur le devant de la scène, après qu''un juge américain ait sérieusement remis en question la demande d'injonction d'Apple à l'encontre de Motorola Mobility, désormais dans le giron de Google, le fournisseur de l'iPhone tâchant de sauvegarder ses positions sur un des fronts cruciauux de la guerre des brevets, et glissant de 0.38% avant l'ouverture, tandis que son adversaire grignotait 0.07%.
Johnson & Johnson était aussi sous les feux de l'actualité, alors qu'il se disait que le géant de la santé serait en train de se rapprocher d'un accord financier avec la justice américaine concernant les allégations de promotion de son médicament antipsychotique Risperdal hors du cadre de son approbation, ce qui pourrait lui coûter au moins 1.5 milliards d'USD.
Parmi ses collègues, Ligand Pharmaceuticals a engrangé 3.78% après la fermeture, prolongeant les 12% de mercredi, un de ses partenaires ayant décroché le feu vert des autorités américaines pour un traitement contre le cancer.
Du côté de la finance, des rumeurs sur Wells Fargo, quatrième banque américaine en matière d'actifs, couraient, parlant de délocalisations hors des Etats-Unis dans le cadre d'une restructuration de l'entreprise visant à minimiser ses frais de fonctionnement.
Bed, Bath & Beyond et Red Hat devraient aussi évoluer, suite à l'aveu de prévisions de rentrées inférieures aux attentes pour le second trimestre.
Le pourvoyeur de tabac Phillip Morris a quand à lui laissé échapper 0.69% en pré-ouverture après avoir revu hier ses prédictions de croissance pour 2012.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter ConAgra Foods, Carnival Corp et l'Apollo Group, dont les performances devraient être dévoilées en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.36%, le CAC 40 français de 0.56%, le DAX 30 allemand de 0.4% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dévissé de 0.8%, alors que le Nikkei 225 japonais bondissait de 0.8%.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui révéler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.