La société australienne de logiciels logistiques WiseTech Global mène actuellement un examen concernant des allégations sur la conduite personnelle de son PDG Richard White, y compris des accusations de paiements à une ancienne partenaire sexuelle. Cette enquête fait suite à des reportages médiatiques détaillant des accusations contre White, qui est également le fondateur milliardaire de l'entreprise et un actionnaire important.
L'examen a été initié en réponse à une série d'allégations rapportées par l'Australian Financial Review et d'autres médias. Ces rapports, apparus fin 2020, suggéraient que White avait eu un comportement inapproprié. Les accusations portées contre lui incluent l'envoi de messages texte et de communications sur les réseaux sociaux à des femmes entrepreneures, commençant par des offres de soutien professionnel et se transformant parfois en langage grossier ou suggestif.
Les actions de WiseTech Global ont connu une baisse notable, chutant de plus de 11% depuis début octobre. L'examen minutieux des affaires personnelles de White s'est intensifié, impactant la position de l'entreprise sur le marché.
En plus de l'examen, il a été rapporté que White a réduit sa participation dans l'entreprise. Un avis récent a révélé qu'il a vendu 351.038 actions à un prix moyen de 131,22 A$ chacune, du jeudi au lundi suivant.
L'entreprise, connue pour ses solutions logicielles qui aident les sociétés de logistique à gérer leurs opérations, n'a pas encore commenté les allégations ou l'examen en cours. Richard White n'était également pas disponible pour un commentaire immédiat sur cette affaire.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.