Le non était bien installé en tête dimanche, avec 61,21% des voix, après dépouillement de la moitié des bulletins de vote, au référendum initié par le gouvernement grec d'Alexis Tsipras sur la dernière proposition des créanciers du pays (BCE, UE, FMI), selon le ministère de l'Intérieur.
Peu avant 22h00 locales (19h00 GMT), trois heures après la fin du scrutin, la moitié des bulletins de vote avaient été dépouillés et donnaient le non en tête à 61,21% contre 38,74% au oui. La question portait sur l'approbation ou non de mesures de réformes et de rigueur budgétaire proposées par les créanciers du pays. Le gouvernement du Premier ministre de gauche radicale Alexis Tsipras a prôné le non.