Le candidat républicain à la présidence Donald Trump a suggéré que l'Iran pourrait être lié à de récentes tentatives d'assassinat contre lui, bien qu'il ait reconnu ne pas avoir de preuves pour confirmer une telle implication. Lors d'un événement de campagne mercredi, Trump a fait référence à des briefings qu'il a reçus de responsables du renseignement américain mardi concernant "des menaces réelles et spécifiques de l'Iran pour l'assassiner".
Les commentaires de Trump interviennent dans le contexte d'enquêtes sur deux incidents visant sa sécurité : l'un sur son terrain de golf en Floride à la mi-septembre et l'autre lors d'un rassemblement en Pennsylvanie en juillet. Les forces de l'ordre n'ont pas publiquement lié l'Iran ou toute autre entité étrangère à ces tentatives.
Lors de l'événement à Mint Hill, en Caroline du Nord, Trump a déclaré : "Il y a eu deux tentatives d'assassinat contre ma vie dont nous avons connaissance, et elles peuvent ou non impliquer, mais possiblement, l'Iran, mais je ne sais pas vraiment." Il a ajouté que si un pays menaçait un candidat à la présidence américaine ou un ancien président, il risquerait de sévères représailles.
L'ancien président s'est également demandé pourquoi les forces de l'ordre américaines protègent le président iranien, Masoud Pezeshkian, lors de sa visite à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, alors que des menaces contre lui persistent. Trump est en lice contre la démocrate Kamala Harris lors de la prochaine élection du 5 novembre.
Concernant l'enquête sur l'incident en Floride, Trump a révélé que le FBI n'a pas pu accéder à six téléphones appartenant à l'accusé, Ryan Routh, qui a été inculpé mardi pour tentative d'assassinat d'un candidat politique. Trump a exhorté Apple (NASDAQ:AAPL) à aider le FBI, qui a réussi à extraire certaines données de localisation d'au moins deux des téléphones de Routh.
La semaine dernière, des agences gouvernementales américaines ont rapporté que des pirates informatiques iraniens avaient envoyé des e-mails contenant du matériel volé à la campagne de Trump à des personnes liées aux efforts de réélection du président Joe Biden, suggérant une tentative plus large de Téhéran d'influencer l'élection américaine. L'Iran a réfuté les allégations d'ingérence dans la politique américaine.
Trump a conclu ses remarques en exprimant sa conviction que les adversaires étrangers sont impatients d'empêcher son retour au pouvoir, car il renforcerait la position mondiale des États-Unis. Il a déclaré : "C'est pourquoi les gens dans les pays veulent me tuer. Ils ne sont pas contents de moi.
C'est une affaire risquée. C'est pourquoi ils veulent me tuer. Ils ne tuent que les présidents qui ont de l'importance."
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.