Mohammad Bazzi, qui possède la double nationalité libano-belge, devrait plaider coupable d'accusations liées à l'évasion de sanctions et au blanchiment d'argent dans une affaire de financement du Hezbollah, un groupe armé que les États-Unis désignent comme une organisation terroriste.
M. Bazzi, âgé de 60 ans, avait précédemment plaidé non coupable de trois chefs d'accusation, dont celui de tentative de transactions avec un groupe terroriste sanctionné.
Les procureurs fédéraux de Brooklyn ont indiqué que les représentants légaux de M. Bazzi lui avaient fait part de son intention de modifier son plaidoyer.
Le département du Trésor américain avait déjà inscrit Bazzi sur la liste de ses sanctions en 2018, citant ses liens présumés avec le Hezbollah.
Les allégations contre Bazzi concernent la vente secrète de sa propriété immobilière dans le Michigan et le transfert ultérieur du produit à l'étranger, ce qui, selon les procureurs, a enfreint les sanctions imposées.
M. Bazzi a été extradé de Roumanie vers les États-Unis en avril 2023, après avoir été arrêté dans ce pays deux mois plus tôt. Les procureurs et la défense de M. Bazzi ont demandé à la juge de district Dora Irizarry de fixer une audience dans le courant du mois pour que M. Bazzi puisse formuler officiellement son nouveau plaidoyer.
L'équipe de défense de Bazzi n'a pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires sur cette affaire.
Reuters a contribué à cet article.
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