McPhy Energy a fait état mercredi d'une croissance de 23% de son chiffre d'affaires semestriel, une hausse portée notamment par le démarrage commercial de sa filiale en Allemagne.
Le spécialiste des solutions d'hydrogène dédiées au stockage d'énergie a généré sur les six premiers mois de l'année un chiffre d'affaires de 1,8 million d'euros, contre 1,4 million d'euros un an plus tôt.
Sa perte d'exploitation ressort à 5,1 millions d'euros sur le semestre, contre 5,5 millions sur la même période de l'année précédente.
Dans son communiqué, McPhy évoque des 'premiers succès commerciaux prometteurs' ainsi qu'une conjoncture de plus en plus favorable pour les nouveaux usages de l'hydrogène.
Cet environnement pose selon lui les bases d'une 'accélération de son expansion'.
Dans une note publiée dans la matinée, les analystes de Portzamparc indiquent avoir décidé de passer à 'acheter' sur la valeur, contre 'renforcer' jusqu'à présent, avec un objectif établi à 7,9 euros.
Le bureau d'études, qui se félicite surtout de la réduction de la consommation de cash, estime que le portefeuille de projets semble porteur et anticipe de nouvelles commandes lors des prochains mois.
Toutes ces informations ne soutenaient pas la valeur mercredi sur Euronext Paris, où le titre rétrocédait 3,4% à 6,2 euros en fin de matinée.
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Le spécialiste des solutions d'hydrogène dédiées au stockage d'énergie a généré sur les six premiers mois de l'année un chiffre d'affaires de 1,8 million d'euros, contre 1,4 million d'euros un an plus tôt.
Sa perte d'exploitation ressort à 5,1 millions d'euros sur le semestre, contre 5,5 millions sur la même période de l'année précédente.
Dans son communiqué, McPhy évoque des 'premiers succès commerciaux prometteurs' ainsi qu'une conjoncture de plus en plus favorable pour les nouveaux usages de l'hydrogène.
Cet environnement pose selon lui les bases d'une 'accélération de son expansion'.
Dans une note publiée dans la matinée, les analystes de Portzamparc indiquent avoir décidé de passer à 'acheter' sur la valeur, contre 'renforcer' jusqu'à présent, avec un objectif établi à 7,9 euros.
Le bureau d'études, qui se félicite surtout de la réduction de la consommation de cash, estime que le portefeuille de projets semble porteur et anticipe de nouvelles commandes lors des prochains mois.
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