Avec une Livre Sterling au plus bas depuis 31 ans face au dollar (à 0,783), les valeurs exportatrices britanniques se voient pousser des ailes et le FT-100 refranchit le cap psychologique des 7000.
Cela porte le gain annuel à plus de 12%, une performance seulement comparable (et même équivalente) à celle du Nikkei depuis le 1er janvier, une place tirée essentiellement par la locomotive d’une devise affaiblie par la banque centrale (même si le yen progresse inexorablement face au dollar).
Le Footsie revient à moins de 1% de son record absolu des 7120 points de début ou fin avril 2015… une époque où le seul avis qui prévalait dans la perspective d’un référendum sur le « Brexit », c’est que « cela n’arrivera pas » mais si jamais le Royaume-Uni sortait de l’Union européenne, la City subirait un krach boursier et financier historique.
On en tremble encore !