Publié à l'origine sur la Bourse au quotidien.fr
Ce ne sont que des zéniths provisoires mais nous observons des scores de 9 710 pour le Nasdaq (+0,8%) et 3 375 pour le S&P500 (+0,7%).
Auditionné par le Congrès depuis 16H30 ce mardi, Jerome Powell redoute d’avantage les cyberattaques chinoises (une “top priorité”) que les conséquences de l’épidémie de coronavirus… dont il serait prématuré de tirer des conclusions sur son impact réel.
Wall Street fait clairement le pari depuis 7 séances (dont 6 de hausse et 5 de records pour le Nasdaq) que les conséquences économiques du virus 2019-nCoV resteront limitées : c’est l’avis de Ray Dalio, le gérant de l’un des plus gros Hedge Fund du monde (Bridgewater Associates), mais également de Peter Navarro et Larry Kudlow (depuis la Maison Blanche).
L’optimisme traverse l’Atlantique puisque l’Euro-Stoxx50 vient d’établir un nouveau zénith historique (à 3 831) au-delà de 3 828, son plus haut absolu du 13 avril 2015 (inscrit 1 mois après le lancement du “QE” de la BCE) et un record absolu de clôture sera également battu au-delà de 3 824.