Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne pour la seconde journée d'affilée ce mardi matin, approchant de nouveau leur creux de quatre mois établi la semaine passée, sur fond de craintes grandissantes à propos du sauvetage de la Grèce, ainsi qu'au sujet de la politique fiscale américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 84.77 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.95%.
Ils avaient auparavant touchhé le fond à 84.66 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un dérapage de 1.1%, alors qu'ils s'étaient effondrés le 7 novembre à 84.05 USD, leur valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Le problème des caisses vides grecques est en effet revenu au premier plan hier, la rencontre des ministres des finances de l'Eurogroupe ayant pris fin sans dégager de consensus concernant l'attribution ou non des 31.5 milliards d'euros de plus en plus indispensabless.
La décision à ce sujet a du coup été remise au 20 novembre, le Fonds Monétaire International et les dirigeants européens n'ayant pas réussi à se mettre d'accord sur la meilleure façon de réduire les dettes d'Athènes jusqu'à un niveau gérable.
Le pays procèdera aujourd'hui à une émission de bons du trésor à un et trois mois qui lui permettront de rembourser les 5 milliards d'euros d'emprunts arrivant à échéance vendredi.
L'attention se trouvait aussi focalisée sur la menace du mur fiscal pesant sur les Etats-Unis, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet qu'il ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que le perlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Cette mauvaise ambiance a poussé les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'euro a alors glissé dans un creux des deux derniers mois face à son homologue américain, et l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, avançait de 0.2% de son côté pour se situer à 81.28, son plus haut niveau depuis le 6 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont reculé de 0.55% pour descendre à 107.55 USD du baril dans le même temps, soit 22.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 84.77 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.95%.
Ils avaient auparavant touchhé le fond à 84.66 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un dérapage de 1.1%, alors qu'ils s'étaient effondrés le 7 novembre à 84.05 USD, leur valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Le problème des caisses vides grecques est en effet revenu au premier plan hier, la rencontre des ministres des finances de l'Eurogroupe ayant pris fin sans dégager de consensus concernant l'attribution ou non des 31.5 milliards d'euros de plus en plus indispensabless.
La décision à ce sujet a du coup été remise au 20 novembre, le Fonds Monétaire International et les dirigeants européens n'ayant pas réussi à se mettre d'accord sur la meilleure façon de réduire les dettes d'Athènes jusqu'à un niveau gérable.
Le pays procèdera aujourd'hui à une émission de bons du trésor à un et trois mois qui lui permettront de rembourser les 5 milliards d'euros d'emprunts arrivant à échéance vendredi.
L'attention se trouvait aussi focalisée sur la menace du mur fiscal pesant sur les Etats-Unis, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet qu'il ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que le perlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Cette mauvaise ambiance a poussé les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'euro a alors glissé dans un creux des deux derniers mois face à son homologue américain, et l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, avançait de 0.2% de son côté pour se situer à 81.28, son plus haut niveau depuis le 6 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont reculé de 0.55% pour descendre à 107.55 USD du baril dans le même temps, soit 22.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.