Les Bourses européennes regagnent du terrain (+1% à Francfort, +1,1% à Londres et +0,8% à Paris) rassurées par le rebond notable de Wall Street (+2,3% sur le Dow Jones et +2,1% sur le Nasdaq) mardi après sa chute du début de semaine.
'Les opérateurs restent craintifs face au risque d'accélération de l'inflation et de resserrement monétaire plus rapide qu'anticipé qui pourrait en découler', note Kiplink, pour qui 'la tendance devrait demeurer volatile dans les prochains jours sur les actions'.
Jugeant toutefois que 'sur le fond, la consolidation de ces derniers jours est saine', la société de gestion considère que 'le repli des marchés actions doit être mis à profit de façon ciblée (stock picking)'.
Sur le front des statistiques, le déficit commercial de la France s'est réduit à 3,5 milliards d'euros, tandis que la production allemande s'est comme prévu tassée de 0,6% en décembre 2017, après un bond de 3,1% le mois précédent.
'Il est très peu probable que cette baisse sans surprise marque le début d'une dynamique de baisse', estime Capital Economics, qui table toujours sur une croissance du PIB allemand de l'ordre de 2,7% en 2018, puis de 2%.
Du côté des publications, les investisseurs accueillent favorablement celles de Statoil (OL:STL) (+2,2%), GSK (+0,7%) et Rio Tinto (LON:RIO) (+0,2%), mais délaissent celles de Sanofi (PA:SASY) (-2,3%), ABN Amro (-3,1%) et Carlsberg (-4,2%).
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'Les opérateurs restent craintifs face au risque d'accélération de l'inflation et de resserrement monétaire plus rapide qu'anticipé qui pourrait en découler', note Kiplink, pour qui 'la tendance devrait demeurer volatile dans les prochains jours sur les actions'.
Jugeant toutefois que 'sur le fond, la consolidation de ces derniers jours est saine', la société de gestion considère que 'le repli des marchés actions doit être mis à profit de façon ciblée (stock picking)'.
Sur le front des statistiques, le déficit commercial de la France s'est réduit à 3,5 milliards d'euros, tandis que la production allemande s'est comme prévu tassée de 0,6% en décembre 2017, après un bond de 3,1% le mois précédent.
'Il est très peu probable que cette baisse sans surprise marque le début d'une dynamique de baisse', estime Capital Economics, qui table toujours sur une croissance du PIB allemand de l'ordre de 2,7% en 2018, puis de 2%.
Du côté des publications, les investisseurs accueillent favorablement celles de Statoil (OL:STL) (+2,2%), GSK (+0,7%) et Rio Tinto (LON:RIO) (+0,2%), mais délaissent celles de Sanofi (PA:SASY) (-2,3%), ABN Amro (-3,1%) et Carlsberg (-4,2%).
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