Investing.com - Les options sur l'or étaient en grande forme aux abords d'un pic de trois semaines ce jeudi matin, profitant des propos apparemment favorables aux maintien des assouplissements tenus par le chef de la banque centrale américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.284,75 USD de l'once en début de séance européenne, grimpant de 3%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.297,05 USD, leur meilleur cours depuis le 24 juin, avec une poussée de 3,8%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.207,25 USD, leur plancher du 5 juin, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.347,45 USD, leur plafond du 20 juin.
Le billet vert a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Il avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
L'étalon américain s'est du coup retrouvé boudé en raison de du renforcement de l'hypothèse de la poursuite des transfusions d'argent frais.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait quand à lui de 1,2% pour se situer à 83,20, son niveau le plus bas depuis le 25 juin.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les cours semblent toutefois être partis pour subir près de 23% de pertes sur l'année, ce qui constituerait leur pire contre-performance depuis 1981, après avoir connu douze années de progression, en raison des rumeurs d'un tour de vis imminent.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 4,3% pour grimper à 19,98 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 3% pour se retrouver à 3,185 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières se sontt renforcées dans l'expectative de nouveaux coups de pouce de la Banque Populaire de Chine suite aux résultats décevants du commerce extérieur révélés hier.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.284,75 USD de l'once en début de séance européenne, grimpant de 3%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.297,05 USD, leur meilleur cours depuis le 24 juin, avec une poussée de 3,8%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.207,25 USD, leur plancher du 5 juin, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.347,45 USD, leur plafond du 20 juin.
Le billet vert a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Il avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
L'étalon américain s'est du coup retrouvé boudé en raison de du renforcement de l'hypothèse de la poursuite des transfusions d'argent frais.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait quand à lui de 1,2% pour se situer à 83,20, son niveau le plus bas depuis le 25 juin.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les cours semblent toutefois être partis pour subir près de 23% de pertes sur l'année, ce qui constituerait leur pire contre-performance depuis 1981, après avoir connu douze années de progression, en raison des rumeurs d'un tour de vis imminent.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 4,3% pour grimper à 19,98 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 3% pour se retrouver à 3,185 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières se sontt renforcées dans l'expectative de nouveaux coups de pouce de la Banque Populaire de Chine suite aux résultats décevants du commerce extérieur révélés hier.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.