Investing.com - Les options sur l'or étaient en progression lors des transactions raréfiées de ce jeudi, se consolidant au-dessus des 1 600 USD de l'once alors que le large affaiblissement du dollar U.S. contribuait à les renforcer, sur fond de craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 616.45 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.18%.
Ils avaient précédement culminé à 1 617.75 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.25% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 595.45 USD, leur plancher du 20 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond de mercredi.
Le volume des transactions devrait demeurer restreint au cours des fêtes de fin d'année, de nombreux courtiers liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année, réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant du même coup la volatilité.
Cette progression est survenue alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0.43% de son côté pour se situer à 80.01.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'angoisse concernant la santé des banques européennes s'est intensifiée hier, après que la Banque Centrale Européenne ait accordé 489 milliards d'euros à 523 banques de la région, lors de sa première offre de prêts triennaux illimités.
Cette opération n'a toutefois pas contribué à rassurer les observateurs, l'importance des sommes mises en jeu, atteignant des niveaux jamais vus pour une manoeuvre de ce type, laisse à penser que les établissements bancaires d'Europe estiment que les capitaux demeureront rares en 2012.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année passée, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, tandis que les capitaux se réfugiaient dans le giron fluctuant du dollar U.S. et des bons du trésor américain.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 29.6 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.77% pour se retrouver à 3.421 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 616.45 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.18%.
Ils avaient précédement culminé à 1 617.75 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.25% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 595.45 USD, leur plancher du 20 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond de mercredi.
Le volume des transactions devrait demeurer restreint au cours des fêtes de fin d'année, de nombreux courtiers liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année, réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant du même coup la volatilité.
Cette progression est survenue alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0.43% de son côté pour se situer à 80.01.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'angoisse concernant la santé des banques européennes s'est intensifiée hier, après que la Banque Centrale Européenne ait accordé 489 milliards d'euros à 523 banques de la région, lors de sa première offre de prêts triennaux illimités.
Cette opération n'a toutefois pas contribué à rassurer les observateurs, l'importance des sommes mises en jeu, atteignant des niveaux jamais vus pour une manoeuvre de ce type, laisse à penser que les établissements bancaires d'Europe estiment que les capitaux demeureront rares en 2012.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année passée, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, tandis que les capitaux se réfugiaient dans le giron fluctuant du dollar U.S. et des bons du trésor américain.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 29.6 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.77% pour se retrouver à 3.421 USD la livre dans le même temps.