Investing.com - Les options sur le brut étaient nettement en forme ce mercredi, Le moral se trouvant requinqué à l'orée de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne.
Les informations émanant de spécialistes montrant que les stocks américaines avaient davantage diminué la semaine dernière qu'escompté ont ausi encouragé la tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 85.3 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.2%.
Ils avaient auparavant culminé à 85.34 USD, leur cours le plus élevé depuis le premier juin, avec une poussée de 1.25%, ayant touché le fond le 4 juin avec 81.21 USD, leur plus faible valeur depuis le 6 octobre 2011.
Les observateurs se raccrochaient à l'espoir que les banques centrales et autres autorités mondiales agissent pour stimuler la croissance planétaire, augmentant ainsi l'attrait du métal précieux.
La téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés ayant eu lieu hier n'a toutefois débouché sur aucune mesure immédiate qui aurait pu rassurer les opérateurs inquiétés par la crise de la dette de la zone euro.
Tous les yeux sont désormais tournés vers la BCE, dont le conseil directeur fournira ses décisions aujourd'hui.
Bien que le maintien de son taux d'intérêt à 1% fasse l'objet de peu de débats, il se dit tout de même qu'elle pourrrait procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture.
Certains estiment qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays.
Le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, avait auparavant appelé à des assouplissements plus volontaires, s'inquiétant de la récente série de résultats économiques "médiocres".
Les acteurs du marché pétrolier guettaient de leur côté dans la journée l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 900 000 barils, diminuant pour la première fois enn dix semaines.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une chute de 1.8 millions de barils pour la période considérée, dépassant largement les 900 000 envisagés par les experts.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation du monde, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet ont gagné 1.05% pour grimper à 99.89 USD du baril dans le même temps, soit 14.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La séance de lundi les avait vues chuter à 95.65 USD, leur niveau le plus bas depuis le 26 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 21% depuis leur sommet à 128.38 USD établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.
Les informations émanant de spécialistes montrant que les stocks américaines avaient davantage diminué la semaine dernière qu'escompté ont ausi encouragé la tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 85.3 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.2%.
Ils avaient auparavant culminé à 85.34 USD, leur cours le plus élevé depuis le premier juin, avec une poussée de 1.25%, ayant touché le fond le 4 juin avec 81.21 USD, leur plus faible valeur depuis le 6 octobre 2011.
Les observateurs se raccrochaient à l'espoir que les banques centrales et autres autorités mondiales agissent pour stimuler la croissance planétaire, augmentant ainsi l'attrait du métal précieux.
La téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés ayant eu lieu hier n'a toutefois débouché sur aucune mesure immédiate qui aurait pu rassurer les opérateurs inquiétés par la crise de la dette de la zone euro.
Tous les yeux sont désormais tournés vers la BCE, dont le conseil directeur fournira ses décisions aujourd'hui.
Bien que le maintien de son taux d'intérêt à 1% fasse l'objet de peu de débats, il se dit tout de même qu'elle pourrrait procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture.
Certains estiment qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays.
Le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, avait auparavant appelé à des assouplissements plus volontaires, s'inquiétant de la récente série de résultats économiques "médiocres".
Les acteurs du marché pétrolier guettaient de leur côté dans la journée l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 900 000 barils, diminuant pour la première fois enn dix semaines.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une chute de 1.8 millions de barils pour la période considérée, dépassant largement les 900 000 envisagés par les experts.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation du monde, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet ont gagné 1.05% pour grimper à 99.89 USD du baril dans le même temps, soit 14.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La séance de lundi les avait vues chuter à 95.65 USD, leur niveau le plus bas depuis le 26 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 21% depuis leur sommet à 128.38 USD établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.