Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne pour le troisième jour ce mercredi, tombant dans un nouveau creux pour cette durée, suite à la divulgation des chiffres officiels concernant l'état des réserves des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.67 USD le baril en seconde partie de séance européenne, perdant 0.61%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 87.55 USD, leur cours le plus bas depuis le 3 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a en effet annoncé que les réserves de pétrole brut nationales avaient davantage diminué au cours de la semaine achevée ce jour-là que prévu, perdant 3.8 millions de barils après en avoir gagné 1.1 millions lors de la précédente.
Les experts s'étaient attendus à ne les voir diminuer que de 1.3 millions sur cette période.
Le document précisait que leur total pour la semaine terminée le 26 novembre s'établissait à 355.9 millions de barils, se maintenant dans la moyenne supérieure des normales saisonnières.
Il a toutefois souligné que les stocks d'essence avaient progressé 3.8 millions de barils et ceux de carburants distillés comme le fioul et le mazout avaient engrangé 2.2 millions de barils pendant la semaine ayant pris fin le 3 décembre.
Les rumeurs d'une hausse des taux d'intérêt chinois destinée à juguler l'inflation et la croissance galopantes ont également pesé sur les cours.
Le bureau des statistiques de Chine a annoncé ce matin qu'il publierait les chiffres de l'inflation de novembre le samedi 11 décembre, soit deux jours avant la date prévue.
Cette décision a alimenté les bruits selon lesquels les autorités compteraient mettre en place des mesures de durcissement monétaire, nés d'un article du China Securities Journal, un organe de presse gouvernemental, annonçant mardi que la fin de semaine offrait une "fenêtre de lancement sensible" pour une hausse des taux par Pékin.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont par ailleurs pris 3.07% pour s'échanger dans le même temps à 4.527 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur meilleur niveau des 4 mois passés.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.67 USD le baril en seconde partie de séance européenne, perdant 0.61%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 87.55 USD, leur cours le plus bas depuis le 3 décembre.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a en effet annoncé que les réserves de pétrole brut nationales avaient davantage diminué au cours de la semaine achevée ce jour-là que prévu, perdant 3.8 millions de barils après en avoir gagné 1.1 millions lors de la précédente.
Les experts s'étaient attendus à ne les voir diminuer que de 1.3 millions sur cette période.
Le document précisait que leur total pour la semaine terminée le 26 novembre s'établissait à 355.9 millions de barils, se maintenant dans la moyenne supérieure des normales saisonnières.
Il a toutefois souligné que les stocks d'essence avaient progressé 3.8 millions de barils et ceux de carburants distillés comme le fioul et le mazout avaient engrangé 2.2 millions de barils pendant la semaine ayant pris fin le 3 décembre.
Les rumeurs d'une hausse des taux d'intérêt chinois destinée à juguler l'inflation et la croissance galopantes ont également pesé sur les cours.
Le bureau des statistiques de Chine a annoncé ce matin qu'il publierait les chiffres de l'inflation de novembre le samedi 11 décembre, soit deux jours avant la date prévue.
Cette décision a alimenté les bruits selon lesquels les autorités compteraient mettre en place des mesures de durcissement monétaire, nés d'un article du China Securities Journal, un organe de presse gouvernemental, annonçant mardi que la fin de semaine offrait une "fenêtre de lancement sensible" pour une hausse des taux par Pékin.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier ont par ailleurs pris 3.07% pour s'échanger dans le même temps à 4.527 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur meilleur niveau des 4 mois passés.