Investing.com - Les options sur l'or étaient en berne lors des transactions éparses de ce mercredi de fin d'année, plongeant encore plus loin sous les 1 600 USD, la plupart des acteurs des marchés ayant fait leurs comptes pour l'année et fermé boutique en attendant un nouveau départ pour janvier.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 588.75 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.42%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 587.75 USD, leur pire cours depuis le 19 décembre, avec un repli de 0.5%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 577.45 USD, leur plancher du 16 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 605.85 USD, leur plafond d'hier.
Les volumes des échanges devraient demeurer faibles entre les congés de fin d'année et le début de la suiivante, entraînant une rareté des capitaux et une volatilité marquée.
L'Italie a prévu d'émettre pour 9 milliards d'euros de bons à 179 jours et 2.5 milliards d'euros de titres sans coupons pour 2013 dans la journée, sans oublier les 8.5 milliards à échéance en 2014, 2018, 2021 et 2022 prévus pour demain.
La réponse à ces mises en vente constituera un indicateur de la propension des gourvernements en difficulté à écouler leurs dettes auprès des banques européennes après l'injection de liquidités effectuée la semaine passée par la Banque Centrale Européenne.
Les taux des obligations décennales du pays se sont maintenus dans l'attente de cet évènement aux abords du seuil crucial des 7%, généralement considéré comme intenable à long terme.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'iinvestissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les courss en effet plongé de près de 15% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 13% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.25% pour dsecendre à 28.67 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.25% pour se retrouver à 3.418 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 588.75 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.42%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 587.75 USD, leur pire cours depuis le 19 décembre, avec un repli de 0.5%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 577.45 USD, leur plancher du 16 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 605.85 USD, leur plafond d'hier.
Les volumes des échanges devraient demeurer faibles entre les congés de fin d'année et le début de la suiivante, entraînant une rareté des capitaux et une volatilité marquée.
L'Italie a prévu d'émettre pour 9 milliards d'euros de bons à 179 jours et 2.5 milliards d'euros de titres sans coupons pour 2013 dans la journée, sans oublier les 8.5 milliards à échéance en 2014, 2018, 2021 et 2022 prévus pour demain.
La réponse à ces mises en vente constituera un indicateur de la propension des gourvernements en difficulté à écouler leurs dettes auprès des banques européennes après l'injection de liquidités effectuée la semaine passée par la Banque Centrale Européenne.
Les taux des obligations décennales du pays se sont maintenus dans l'attente de cet évènement aux abords du seuil crucial des 7%, généralement considéré comme intenable à long terme.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'iinvestissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les courss en effet plongé de près de 15% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 13% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.25% pour dsecendre à 28.67 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.25% pour se retrouver à 3.418 USD la livre dans le même temps.