Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme ce jeudi, s'approchant de leur plus haut niveau depuis la mi-décembre alors que les investisseurs continuaient à se concentrer sur les évolutions découlant du problème du surendettement européen.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 664.05 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient précédement culminé à 1 666.65 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation, juste au-dessous du pic des cinq dernières semaines à 1 667.95 USD atteint mardi.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 643.15 USD, leur plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1 681.55, leur plafond du 13 décembre.
Les négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers devaient reprendre en cours de journée afin d'étudier une dévaluation volontaire des dettes souveraines du pays.
Celui-ci doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros de ses obligations arriveront à terme le 20 mars.
Le New York Times avait auparavant rapporté qu'un certain nombre de fonds d'investissement largement exposés aux dettes hellènes comptaient poursuivre une Grèce déjà criblée de dettes au cas où des pertets en découlant leur étaient infligées.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment les ventes d'obligations de la France et de l'Espagne, qui devraient constituer un test crucial de leur attractivité pour les investisseurs.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des pays en difficulté à lever des fonds par eux-mêmes.
Le Crédit Suisse a pour sa part revu à la baisse ses prévisions pour la moyenne des prix de l'or en 2012 à 1 755 USD de l'once contre 1 850 précédmment, estimant toutefois toujours qu'ils devraient augmenter, estimant qu'il s'était remis de ses corrections de la fin de l'année 2011 et avait toutes les chances de reprendre sa tendance haussière à long terme.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.6% pour grimper à 30.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.2% pour se retrouver à 3.798 USD la livre dans le même temps.
La banque helvétique avait d'autre part précisé estimer la moyenne des cours du métal gris à 32.8 USD pour la mêeme période, estimant qu'il devrait réaliser de bonnes performances, bénéficiant à la fois de la hausse de l'or mais aussi du regain d'audace.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 664.05 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient précédement culminé à 1 666.65 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation, juste au-dessous du pic des cinq dernières semaines à 1 667.95 USD atteint mardi.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 643.15 USD, leur plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1 681.55, leur plafond du 13 décembre.
Les négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers devaient reprendre en cours de journée afin d'étudier une dévaluation volontaire des dettes souveraines du pays.
Celui-ci doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros de ses obligations arriveront à terme le 20 mars.
Le New York Times avait auparavant rapporté qu'un certain nombre de fonds d'investissement largement exposés aux dettes hellènes comptaient poursuivre une Grèce déjà criblée de dettes au cas où des pertets en découlant leur étaient infligées.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment les ventes d'obligations de la France et de l'Espagne, qui devraient constituer un test crucial de leur attractivité pour les investisseurs.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des pays en difficulté à lever des fonds par eux-mêmes.
Le Crédit Suisse a pour sa part revu à la baisse ses prévisions pour la moyenne des prix de l'or en 2012 à 1 755 USD de l'once contre 1 850 précédmment, estimant toutefois toujours qu'ils devraient augmenter, estimant qu'il s'était remis de ses corrections de la fin de l'année 2011 et avait toutes les chances de reprendre sa tendance haussière à long terme.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.6% pour grimper à 30.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.2% pour se retrouver à 3.798 USD la livre dans le même temps.
La banque helvétique avait d'autre part précisé estimer la moyenne des cours du métal gris à 32.8 USD pour la mêeme période, estimant qu'il devrait réaliser de bonnes performances, bénéficiant à la fois de la hausse de l'or mais aussi du regain d'audace.