Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi après-midi, à quelques heures de l'annonce des orientations de la Réserve Fédérale, Chypre restant au coeur des débats après que son parlement ait rejeté l'idée d'une taxe sur les dépôts bancaires.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance était au premier plan, après qu'il ait été rapporté que JP Morgan avait trouvé un accord à hauteur de 546 millions d'USD avec les curateurs chargés de liquider la branche de courtage et de revente de MF Global Holdings.
Le Wall Street Journal avait auparavant fait savoir qu'un haut responsable des autorités financières américaines avait appelé à une reprise en main de la direction de ce mastodonte, dans le sillage des milliards de dollars de pertes dûes l'année passée à son opérateur surnommé "la baleine de Londres".
L'informatique était aussi à l'honneur, l'éditeur de logiciels Adobe bondissant de 5.72% en pré-ouverture grâce à ses 1.01 milliards d'USD de chiffre d'affaires revendiqué au premier trimestre, au lieu des 985.8 millions de moyenne envisagés par les experts.
On pouvait aussi noter qu'Apple lui avait débauché son directeur des technologies système Kevin Lynch, afin de remettre la main sur un des responsables des toutes premières applications de son Macintosh.
Yahoo grignotait pour sa part 0.32% avant le lancement des hostilités, sur fond de bruitst affirmant qu'il cherchait à acquérir assez de parts pour prendre le contrôle de Dailymotion, un des sites de partages de vidéos par Internet les plus populaires.
Le Wall Street Journal précisait qu'il pourrait en phagocyter jusqu'à 75% à l'opérateur de réseaux France Télécom.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter General Mills, dont les résultats triestriels seront bientôt proclamés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.77%, le CAC 40 français de 0.58%, le DAX 30 allemand de 0.53% et le FTSE 100 britannique de 0.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.97%, et le Nikkei 225 japonais restait inactif pour cause de jour férié.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé les coudées franches pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance était au premier plan, après qu'il ait été rapporté que JP Morgan avait trouvé un accord à hauteur de 546 millions d'USD avec les curateurs chargés de liquider la branche de courtage et de revente de MF Global Holdings.
Le Wall Street Journal avait auparavant fait savoir qu'un haut responsable des autorités financières américaines avait appelé à une reprise en main de la direction de ce mastodonte, dans le sillage des milliards de dollars de pertes dûes l'année passée à son opérateur surnommé "la baleine de Londres".
L'informatique était aussi à l'honneur, l'éditeur de logiciels Adobe bondissant de 5.72% en pré-ouverture grâce à ses 1.01 milliards d'USD de chiffre d'affaires revendiqué au premier trimestre, au lieu des 985.8 millions de moyenne envisagés par les experts.
On pouvait aussi noter qu'Apple lui avait débauché son directeur des technologies système Kevin Lynch, afin de remettre la main sur un des responsables des toutes premières applications de son Macintosh.
Yahoo grignotait pour sa part 0.32% avant le lancement des hostilités, sur fond de bruitst affirmant qu'il cherchait à acquérir assez de parts pour prendre le contrôle de Dailymotion, un des sites de partages de vidéos par Internet les plus populaires.
Le Wall Street Journal précisait qu'il pourrait en phagocyter jusqu'à 75% à l'opérateur de réseaux France Télécom.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter General Mills, dont les résultats triestriels seront bientôt proclamés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.77%, le CAC 40 français de 0.58%, le DAX 30 allemand de 0.53% et le FTSE 100 britannique de 0.02%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.97%, et le Nikkei 225 japonais restait inactif pour cause de jour férié.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé les coudées franches pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.