Investing.com - Le dollar U.S. restait dans une forme mitigée face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, sur fond d'incertitudes sur les orientations de son émettrice et le futur de l'économie mondiale.
En seconde partie de séance européenne, le yen a cessé de fléchir devant lui, l'USD/JPY laissant échapper 0,22% pour creuser une ornière journalière à 98,63 après avoir pourtant culminé à 99,18.
Les perspectives de croissance mondiales sont apparues plus douteuses après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD se repliant de 0,18% pour chuter à 1,3469.
Il avait été montré ce matin que la confiance économique allemande avait connu un regain inférieur aux espérances pour ce mois-ci.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a pour sa part réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau depuis mars 2012, au lieu des 108,2 anticipés.
La monnaie unique restait en demi-teinte après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région où elle a cours était envisageable au cas où la sauvegarde de son économie en dépendrait.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,50% pour chuter à 1,5964, et l'USD/CHF grignotant 0,20% pour se hisser à 0,9126.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,48% pour se retrouver à 0,9385, le NZD/USD se laissant arracher 0,99% pour toucher le fond à 0,8292 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0292.
Les deux premières se trouvaient sur la sellette après que l'effondrement des cours des matières premières, dont elles dépendent fortement, ait terni le blason des valeurs audacieuses.
Il était également à noter que les ventes au détail du Canada n'avaient augmenté que de 0,6% au lieu des 1% espérés, celles de produits de base se conformant par contre aux 1% prédits.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 80,73.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.
En seconde partie de séance européenne, le yen a cessé de fléchir devant lui, l'USD/JPY laissant échapper 0,22% pour creuser une ornière journalière à 98,63 après avoir pourtant culminé à 99,18.
Les perspectives de croissance mondiales sont apparues plus douteuses après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD se repliant de 0,18% pour chuter à 1,3469.
Il avait été montré ce matin que la confiance économique allemande avait connu un regain inférieur aux espérances pour ce mois-ci.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a pour sa part réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau depuis mars 2012, au lieu des 108,2 anticipés.
La monnaie unique restait en demi-teinte après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région où elle a cours était envisageable au cas où la sauvegarde de son économie en dépendrait.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,50% pour chuter à 1,5964, et l'USD/CHF grignotant 0,20% pour se hisser à 0,9126.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,48% pour se retrouver à 0,9385, le NZD/USD se laissant arracher 0,99% pour toucher le fond à 0,8292 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0292.
Les deux premières se trouvaient sur la sellette après que l'effondrement des cours des matières premières, dont elles dépendent fortement, ait terni le blason des valeurs audacieuses.
Il était également à noter que les ventes au détail du Canada n'avaient augmenté que de 0,6% au lieu des 1% espérés, celles de produits de base se conformant par contre aux 1% prédits.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 80,73.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.