Investing.com - Le dollar U.S. était encore en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, les bons chiffres du moral économique allemand et de la croissance de la Chine poussant les investisseurs à éviter de s'y réfugier en faveur de valeurs plus risquées.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 1.05% pour grimper à 1.2799.
La monnaie unique avait repris des couleurs après que le centre de recherches économiques ZEW ait indiqué que la confiance dans les affaires allemandes avait connu en janvier sa plus forte augmentation mensuelle, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro réalisait de bonnes performances malgré les effets de la crise de la dette régionale.
L'Espagne a pour sa part émis en milieu de journée pour 4.9 milliards d'euros de dettes à court terme à des taux nettement rabaissés, signe que l'humeur des investisseurs n'avait pas été entachée par la dégradation du pays ayant eu lieu la semaine passée.
L'audace était revenue après que les résultats dépassant les espérances de la croissance chinoise pour le quatrième trimestre aient apaisé les angoisses concernant les perspectives de croissance mondiale.
La devise européenne demeurait cependant friable après que l'agence Standard & Poor's avait rabaissé d'un cran sa notation triple A du fonds de secours de l'Europe, après avoir déjà dégradé vendredi neuf pays membres de la zone euro, notamment la France.
Les négociations destinées à restructurer les dettes du pays demeuraient quand à elles dans l'impasse, sur fond de désaccords concernant les remplacements d'obligations des créanciers privés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.41% pour se hisser à 1.5388.
Un rapport officiel montrait ce matin que les prix à la consommation en Grande-Bretagne avaient augmenté sans surprise de 4.2% ajustés saisonnièrement en décembre, contre 4.8% lors du précédent.
Ce net recul a renforcé l'hypothèse de la Banque d'Angleterre selon laquelle l'inflation devrait fortement diminuer en 2012, lui permettant ainsi d'assouplir davantage sa politique monétaire.
Il a d'autre part vaillamment résisté à la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour se retrouver à 76.77 et l'USD/CHF glissant de 0.91% pour tomber à 0.9453.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, avait quand à lui rencontré ce matin Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, afin de s'entretenir à propos du problème du surendettement de l'Europe, après que l'euro ait plongé dans un gouffre de plus de dix ans contre la devise du pays du soleil levant, aggravant les craintes des effets de la flambée de cette dernière sur une économie largement tournée vers l'export.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.47% pour aller vers 1.0129, l'AUD/USD raflant 1.03% pour monter à 1.0419 et le NZD/USD engrangeant 0.92% pour culminer à 0.8008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.66% pour se situer à 81.06.
Les Etats-Unis diffuseront pour leur part dans l'après-midi leur indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 1.05% pour grimper à 1.2799.
La monnaie unique avait repris des couleurs après que le centre de recherches économiques ZEW ait indiqué que la confiance dans les affaires allemandes avait connu en janvier sa plus forte augmentation mensuelle, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro réalisait de bonnes performances malgré les effets de la crise de la dette régionale.
L'Espagne a pour sa part émis en milieu de journée pour 4.9 milliards d'euros de dettes à court terme à des taux nettement rabaissés, signe que l'humeur des investisseurs n'avait pas été entachée par la dégradation du pays ayant eu lieu la semaine passée.
L'audace était revenue après que les résultats dépassant les espérances de la croissance chinoise pour le quatrième trimestre aient apaisé les angoisses concernant les perspectives de croissance mondiale.
La devise européenne demeurait cependant friable après que l'agence Standard & Poor's avait rabaissé d'un cran sa notation triple A du fonds de secours de l'Europe, après avoir déjà dégradé vendredi neuf pays membres de la zone euro, notamment la France.
Les négociations destinées à restructurer les dettes du pays demeuraient quand à elles dans l'impasse, sur fond de désaccords concernant les remplacements d'obligations des créanciers privés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.41% pour se hisser à 1.5388.
Un rapport officiel montrait ce matin que les prix à la consommation en Grande-Bretagne avaient augmenté sans surprise de 4.2% ajustés saisonnièrement en décembre, contre 4.8% lors du précédent.
Ce net recul a renforcé l'hypothèse de la Banque d'Angleterre selon laquelle l'inflation devrait fortement diminuer en 2012, lui permettant ainsi d'assouplir davantage sa politique monétaire.
Il a d'autre part vaillamment résisté à la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour se retrouver à 76.77 et l'USD/CHF glissant de 0.91% pour tomber à 0.9453.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, avait quand à lui rencontré ce matin Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, afin de s'entretenir à propos du problème du surendettement de l'Europe, après que l'euro ait plongé dans un gouffre de plus de dix ans contre la devise du pays du soleil levant, aggravant les craintes des effets de la flambée de cette dernière sur une économie largement tournée vers l'export.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.47% pour aller vers 1.0129, l'AUD/USD raflant 1.03% pour monter à 1.0419 et le NZD/USD engrangeant 0.92% pour culminer à 0.8008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.66% pour se situer à 81.06.
Les Etats-Unis diffuseront pour leur part dans l'après-midi leur indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.