Investing.com - Le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière a augmenté sans crier gare, constituant d'après les chiffres officiels dévoilés ce jeudi sa troisième semaine de montée d'affilée.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait grimpé de 8 000 unités pour en totaliser 362 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 3 mars, alors que les experts s'étaient attendus à le voir régresser de 4 000 pour se situer à 350 000 sur la période considérée.
Il était monté à 354 000 corrigés lors de la précédente, dont l'estimation préliminaire à 351 000 a dû être révisée à la hausse.
Il s'est toutefois maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de dix-sept des dix-neuf dernières semaines.
Il s'agissait tout de même de la première série de trois semaines de gonflement consécutives depuis août 2010.
Le document précisait également que le total des allocataires avait davantage augmenté sans prévenir pour la semaine ayant pris fin le 25 février, se retrouvant à 3.416 millions, tandis que les spécialistes pensaient le voir se réduire à 3.385 millions.
Son évaluation préalable à 3.402 millions pour la semaine précédente a quand à elle dû être revue vers le haut à 3.406 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a décliné de 250 unités pour s'établir à 355 000.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. a encore cédé du terrain sur l'euro, l'EUR/USD bondissant de 0.84% pour se hisser à 1.326.
Les perspectives des marchés américains retaient toute de même optimistes malgré tout: les options sur le Dow Jones prévoyaient une ascension de 0.65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.85% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.7%.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait grimpé de 8 000 unités pour en totaliser 362 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 3 mars, alors que les experts s'étaient attendus à le voir régresser de 4 000 pour se situer à 350 000 sur la période considérée.
Il était monté à 354 000 corrigés lors de la précédente, dont l'estimation préliminaire à 351 000 a dû être révisée à la hausse.
Il s'est toutefois maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de dix-sept des dix-neuf dernières semaines.
Il s'agissait tout de même de la première série de trois semaines de gonflement consécutives depuis août 2010.
Le document précisait également que le total des allocataires avait davantage augmenté sans prévenir pour la semaine ayant pris fin le 25 février, se retrouvant à 3.416 millions, tandis que les spécialistes pensaient le voir se réduire à 3.385 millions.
Son évaluation préalable à 3.402 millions pour la semaine précédente a quand à elle dû être revue vers le haut à 3.406 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a décliné de 250 unités pour s'établir à 355 000.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. a encore cédé du terrain sur l'euro, l'EUR/USD bondissant de 0.84% pour se hisser à 1.326.
Les perspectives des marchés américains retaient toute de même optimistes malgré tout: les options sur le Dow Jones prévoyaient une ascension de 0.65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.85% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.7%.