Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme pour la seconde journée consécutive ce mardi, repassant au-dessus de la barrière cruciale des 100 USD, les bonnes performances chinoises apaisant l'angoisse d'un "atterrissage en catastrophe" du second consommateur de pétrole au monde.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 100.67 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.82%.
Ils avaient auparavant culminé à 100.9 USD, leur cours le plus élevé depuis le 12 janvier, avec 1.95% de progression.
Des chiffres officiels avaient en effet signalé ce matin que le produit intérieur brut de a Chine a en effet augmenté de 8.9% annualisés au quatrième trimestre, soit moins que les 9.1% précédents, mais légèrement mieux que les 8.8% attendus.
Les besoins en pétrole de la Chine restant les deuxièmes au monde après ceux des Etats-Unis, le pays étant le principal responsable de l'augmentation de la demande.
L'affaiblissement du dollar U.S. a également contribué au mouvement, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.5% de son côté pour se situer à 81.25.
Les observateurs continuaient à surveiller d'éventuelles perturbations des exportations de pétrole iraniennes après qu'il ait été rapporté que la France insistait pour renforcer plus rapidement l'embargo proposé par l'Union Européenne sur celles-ci.
Les représentants de ses 27 membres devraient décider le 23 janvier à Bruxelles quelles sanctions adopter.
Les prix ont été soutenus ces dernières semaines par l'angoisse que la république islamique ne mette à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions internationales contre elle.
Cette région, par laquelle transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les plus cruciales du monde, située entre le sultanat d'Oman et l'Iran.
Le ministère des affaires étrangères ce dernier a confirmé hier avoir reçu une missive américaine concernant la Détroit d'Ormuz "via trois canaux différents", sans toutefois en divulguer le contenu.
Les inquiétudes concernant les livraisons du Nigeria ont pour leur part été quelque peu apaisées après que les syndicats du pays aient annulé les grèves et manifestations menaçant de paralyser le premier extracteur africain.
Les investisseurs ont fait peu de cas de la nouvelle selon laquelle l'agence Standard & Poor's avait rabaissé lundi soir d'un cran vers AA+ sa notation du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
La menace d'un défaut de paiement grec persistait aussi, les négociations destinées à restructurer les dettes du pays demeurant dans l'impasse, sur fond de désaccords concernant les remplacements d'obligations des créanciers privés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.67% pour grimper à 112.08 USD du baril dans le même temps, soit 11.41 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 100.67 USD le baril en première partie de séance européenne, bondissant de 1.82%.
Ils avaient auparavant culminé à 100.9 USD, leur cours le plus élevé depuis le 12 janvier, avec 1.95% de progression.
Des chiffres officiels avaient en effet signalé ce matin que le produit intérieur brut de a Chine a en effet augmenté de 8.9% annualisés au quatrième trimestre, soit moins que les 9.1% précédents, mais légèrement mieux que les 8.8% attendus.
Les besoins en pétrole de la Chine restant les deuxièmes au monde après ceux des Etats-Unis, le pays étant le principal responsable de l'augmentation de la demande.
L'affaiblissement du dollar U.S. a également contribué au mouvement, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.5% de son côté pour se situer à 81.25.
Les observateurs continuaient à surveiller d'éventuelles perturbations des exportations de pétrole iraniennes après qu'il ait été rapporté que la France insistait pour renforcer plus rapidement l'embargo proposé par l'Union Européenne sur celles-ci.
Les représentants de ses 27 membres devraient décider le 23 janvier à Bruxelles quelles sanctions adopter.
Les prix ont été soutenus ces dernières semaines par l'angoisse que la république islamique ne mette à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions internationales contre elle.
Cette région, par laquelle transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les plus cruciales du monde, située entre le sultanat d'Oman et l'Iran.
Le ministère des affaires étrangères ce dernier a confirmé hier avoir reçu une missive américaine concernant la Détroit d'Ormuz "via trois canaux différents", sans toutefois en divulguer le contenu.
Les inquiétudes concernant les livraisons du Nigeria ont pour leur part été quelque peu apaisées après que les syndicats du pays aient annulé les grèves et manifestations menaçant de paralyser le premier extracteur africain.
Les investisseurs ont fait peu de cas de la nouvelle selon laquelle l'agence Standard & Poor's avait rabaissé lundi soir d'un cran vers AA+ sa notation du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
La menace d'un défaut de paiement grec persistait aussi, les négociations destinées à restructurer les dettes du pays demeurant dans l'impasse, sur fond de désaccords concernant les remplacements d'obligations des créanciers privés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.67% pour grimper à 112.08 USD du baril dans le même temps, soit 11.41 USD de mieux que leurs homologues américaines.