Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce lundi, l'angoisse grandisssante liée au niveau d'endettement des Etats-Unis et de la zone euro ayant alimenté la crainte d'une diminution des besoins mondiaux, tandis que le renforcement du dollar U.S. tirait les cours vers le bas.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.15 USD le baril en début de séance européenne, perdant 0.59%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.91 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.85% de fléchissement.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'avait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Larry Summers, ancien secrétaire d'état au trésor américain, a ajouté qu'un défaut de paiement de la part du pays ferait souffler un vent de panique sur le système financier mondial et entraînerait des incertitudes sur le long terme.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que le premier demandeur d'or noir au monde connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si il devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
Les résultats de l'activité manufacturière de la résion de New York dévoilés vendredi ont par ailleurs montré en juillet une contraction inattendue pour le second mois d'affilée, tandis que le moral des consommateurs du pays tombait à son pire niveau depuis mars 2009.
Une autre étude a également indiqué que la production industrielle nationale avait moins augmenté en juin que prévu
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
La devise américaine a bondi vers un pic des trois jours contre l'euro, l''indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.7% pour se situer à 75.93.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont dégringolé de 1.1% pour se retrouver à 116.34 USD du baril dans le même temps, soit 19.19 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.15 USD le baril en début de séance européenne, perdant 0.59%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.91 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.85% de fléchissement.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'avait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Larry Summers, ancien secrétaire d'état au trésor américain, a ajouté qu'un défaut de paiement de la part du pays ferait souffler un vent de panique sur le système financier mondial et entraînerait des incertitudes sur le long terme.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que le premier demandeur d'or noir au monde connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si il devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
Les résultats de l'activité manufacturière de la résion de New York dévoilés vendredi ont par ailleurs montré en juillet une contraction inattendue pour le second mois d'affilée, tandis que le moral des consommateurs du pays tombait à son pire niveau depuis mars 2009.
Une autre étude a également indiqué que la production industrielle nationale avait moins augmenté en juin que prévu
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
La devise américaine a bondi vers un pic des trois jours contre l'euro, l''indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.7% pour se situer à 75.93.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont dégringolé de 1.1% pour se retrouver à 116.34 USD du baril dans le même temps, soit 19.19 USD de mieux que leurs homologues américaines.