Investing.com - Les options sur l'or on prolongé ce jeudi leur net replis d'hier, après avoir plongé sous des niveaux de soutien cruciaux, l'angoisse d'un aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro poussant les investisseurs à les vendre afin de libérer des capitaux.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 578.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 567.05 USD, leur pire cours depuis le 26 septembre, subissant un effondrement de 0.75%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 533.35, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 645.65, son plafond d'hier.
La session de mercredi les avait vus dégringoler de près de 5% et passer sous la barre cruciale des 1 600 USD, l'angoisse d'une dégradation de masse en zone euro provoquant une ruée vers l'étalon américain.
L'agence Fitch a fait savoir dans la soirée d'hier qu'elle avait revu les notations de cinq établissements financiers européens à la baisse, et notamment celle du Crédit Agricole, troisième prêteur français.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci augmentant son attrait en tant que valeur refuge.
Cette relation s'est toutefois révélée moins certaine ces derniers temps, les acteurs des marchés lui préférant le giron fluctuant du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est quand à lui situé à 81.03, soit juste au-dessous de son pic des 11 derniers mois établi hier à 81.41.
Les contrats à terme sur l'or ont sombré de près de 11% ces deux dernières semaines, leurs possesseurs les liquidant afin de couvrir les pertes qu'ils ont subies ailleurs, mais ils demeurent toutefois en hausse de 10% sur l'année, ce qui devrait constituer leur onzième année de progression d'affilée.
La banque européenne HSBC Holdings avait auparavant déclaré: "Certains fonds d'investissement énormes se débarrassent de leur métal jaune afin d'assurer des bénéfices sur une année difficile, mais le volume des échanges affaibli tradictionnel de la fin d'année fait qu'il faut s'attendre à encore davantage de volatilité des cours."
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.25% pour descendre à 28.87 USD de l'once, leur plus bas niveau des 11 dernières semaines, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.287 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 578.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 567.05 USD, leur pire cours depuis le 26 septembre, subissant un effondrement de 0.75%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 533.35, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 645.65, son plafond d'hier.
La session de mercredi les avait vus dégringoler de près de 5% et passer sous la barre cruciale des 1 600 USD, l'angoisse d'une dégradation de masse en zone euro provoquant une ruée vers l'étalon américain.
L'agence Fitch a fait savoir dans la soirée d'hier qu'elle avait revu les notations de cinq établissements financiers européens à la baisse, et notamment celle du Crédit Agricole, troisième prêteur français.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci augmentant son attrait en tant que valeur refuge.
Cette relation s'est toutefois révélée moins certaine ces derniers temps, les acteurs des marchés lui préférant le giron fluctuant du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est quand à lui situé à 81.03, soit juste au-dessous de son pic des 11 derniers mois établi hier à 81.41.
Les contrats à terme sur l'or ont sombré de près de 11% ces deux dernières semaines, leurs possesseurs les liquidant afin de couvrir les pertes qu'ils ont subies ailleurs, mais ils demeurent toutefois en hausse de 10% sur l'année, ce qui devrait constituer leur onzième année de progression d'affilée.
La banque européenne HSBC Holdings avait auparavant déclaré: "Certains fonds d'investissement énormes se débarrassent de leur métal jaune afin d'assurer des bénéfices sur une année difficile, mais le volume des échanges affaibli tradictionnel de la fin d'année fait qu'il faut s'attendre à encore davantage de volatilité des cours."
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.25% pour descendre à 28.87 USD de l'once, leur plus bas niveau des 11 dernières semaines, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.287 USD la livre dans le même temps.