Investing.com - Les options sur l'or étaient encore en berne ce jeudi, les opérateurs débouclant leurs positions longues après que la Réserve Fédérale se soit retenue de lancer une troisième série d'assouplissements quantitatifs.
Ils guettaient aussi dans la journée les résultats de l'état des lieux des éttablissements financiers de l'Espagne et ses ventes d'obligations à deux, trois et cinq ans.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 602.25 USD de l'once en début de séance européenne, dérapant de 0.85%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 598.15 USD, leur pire cours du jour, avec une plongée de 1.2%, après avoir touché le fond hier à 1 591.35 USD, leur valeur la plus basse depuis le 12 juin.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 559.35 USD, leur plancher du 8 juin, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 642.15 USD, leur plafond du 6.
La banque centrale américaine a en effet annoncé le prolongement de son "Opération Twist", consistant à racheter des bons du trésor, jusqu'à la fin de l'année, alors que sa fin était prévue ce mois-ci, précisant être prête à agir davantage.
Celle-ci consiste à vendre des bons du trésor américains à court terme pour en racheter à long terme, afin de réduire les taux d'intérêt sur les périodes étendues.
Cette décision a déçu ceux qui attendaient des mesures plus agressives afin de renflouer la croissance de la première économie mondiale, suite à une récente série de résultats médiocres.
L'envolée des cours a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait de nouveau procéder à des acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 9% depuis la fin février, sur fond d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour la contrepartie qu'est l'étalon américain.
La prudence était également de mise dans l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Le pays, lourdement endetté, devait par ailleurs mettre des dettes aux enchères à la mi-journée, les coûts de ses emprunts décennaux étant d'autre part retombés au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir dépassé en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
L'atmosphère s'était aussi assombrie après qu'il ait été révélé que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois de juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Les futures sur l'argent pour juillet ont quand à elles laissé échappé 1.6% pour sombrer à 27.93 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dévissé de 1.05% pour se retrouver à 3.352 USD la livre dans le même temps.
Ils guettaient aussi dans la journée les résultats de l'état des lieux des éttablissements financiers de l'Espagne et ses ventes d'obligations à deux, trois et cinq ans.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 602.25 USD de l'once en début de séance européenne, dérapant de 0.85%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 598.15 USD, leur pire cours du jour, avec une plongée de 1.2%, après avoir touché le fond hier à 1 591.35 USD, leur valeur la plus basse depuis le 12 juin.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 559.35 USD, leur plancher du 8 juin, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 642.15 USD, leur plafond du 6.
La banque centrale américaine a en effet annoncé le prolongement de son "Opération Twist", consistant à racheter des bons du trésor, jusqu'à la fin de l'année, alors que sa fin était prévue ce mois-ci, précisant être prête à agir davantage.
Celle-ci consiste à vendre des bons du trésor américains à court terme pour en racheter à long terme, afin de réduire les taux d'intérêt sur les périodes étendues.
Cette décision a déçu ceux qui attendaient des mesures plus agressives afin de renflouer la croissance de la première économie mondiale, suite à une récente série de résultats médiocres.
L'envolée des cours a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait de nouveau procéder à des acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 9% depuis la fin février, sur fond d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour la contrepartie qu'est l'étalon américain.
La prudence était également de mise dans l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Le pays, lourdement endetté, devait par ailleurs mettre des dettes aux enchères à la mi-journée, les coûts de ses emprunts décennaux étant d'autre part retombés au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir dépassé en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
L'atmosphère s'était aussi assombrie après qu'il ait été révélé que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois de juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Les futures sur l'argent pour juillet ont quand à elles laissé échappé 1.6% pour sombrer à 27.93 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dévissé de 1.05% pour se retrouver à 3.352 USD la livre dans le même temps.